1. Les élèves et le prof d'anatomie (3)


    Datte: 23/03/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... préservatif sur son engin et s’allonge sur le divan. Il me demande de le chevaucher, tenant sa bite d’une main pour la tenir à la verticale. Je soulève mon bassin et lentement m’empale sur ce pieu monstrueux pour moi, petite ingénue qui a voulu connaître le grand frisson avec un vrai « mâle » doté d’une bite d’âne.
    
    J’essaye de me concentrer, les yeux fermés, pensant à ce gigantesque pieu qui écartèle ma petite chatte complètement trempée.
    
    Tout d’abord, j’ai un peu mal, je m’exécute sans discuter et m’empale sur son sexe un peu plus loin, heureusement que ma chatte était déjà bien humide... Sa verge n’a aucun mal à se frayer un chemin dans mon vagin, qui se dilate pour la recevoir. Je fais de lents aller-retour sur son nœud, mais il me faut de nombreux va-et-vient pour m’empaler complètement, toutefois mon conduit ne peut absorber complètement son phallus hors normes. La douleur s’atténue après quelques minutes de baise pour laisser place à une forme d’abandon, puis de plaisir.
    
    Hervé met ses mains sur mes fesses et me donne le rythme du coït, les caressant et les malaxant
    
    Je gémis à chaque entrée de son sexe quand il bute trop profondément en moi, il a une vue directe sur mes tétons en érection et mes seins qui ballotent au rythme du coït.
    
    Mon vagin dégage une telle vague de ...
    ... chaleur que je me sens fondre de plaisir sur cette énorme bite qui me ravage mon coquillage. Il me semble même que je sens son sperme dégouliner le long de mes cuisses. Mais je réalise que je suis tellement excitée que c’est moi en fait qui dégouline littéralement de cyprine.
    
    Je ne sais combien de temps je me tringle dans cette position, contre laquelle il n’essaie même pas de reprendre le pouvoir. Je suis littéralement assise sur sa bite, j’ai joui une première fois presque tout de suite, mais trop fort, comme pour m’exciter encore plus, la première d’une longue liste.
    
    Toujours les mains sur mes fesses, il se soulève du divan, m’entraînant avec lui et je me retrouve suspendue dans les airs par ses bras musclés, et les miens autour de son cou. Il me soutient, sans effort visible de sa part, glisse ses mains sous mes cuisses pour pouvoir me soulever. Je l’embrasse sur les lèvres, le baiser le plus magique de ma vie. Il se retire, me soulevant de ses bras et replonge son dard en moi, je manque m’évanouir tellement sa verge est rentrée profondément en moi.
    
    Sa cadence s’accélère et devient incroyablement rapide, il me tringle avec une telle bestialité que je jouis plusieurs fois, gémissant de plaisir. Je ne me croyais pas aussi salope ! Mais lui n’a toujours pas joui.
    
    À suivre... 
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