1. Je suis une voyeuse


    Datte: 23/03/2022, Catégories: f, fh, couple, couplus, sauna, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, pénétratio, Auteur: Yasmina, Source: Revebebe

    ... pas chaque fois que nous… Par égard envers sa fortune et son statut de mari, je réponds toujours « présente » à ses demandes et à ses attentes, ce qui ne me demande pas trop d’efforts, car je suis pragmatique : « On sait ce qu’on a, mais… ».
    
    Cependant, depuis un certain temps, je le sentais s’éloigner de moi, de mon corps. Peu à peu, il affichait moins de vitalité (sic) et me laissait trop souvent m’endormir sans me faire gros câlin… Bref, j’étais inquiète… Avais-je une rivale gourmande ?
    
    Un jour, Baudouin m’annonça que des siens collègues, Carla et Paco, nous invitaient à déjeuner le dimanche suivant. Pourquoi pas ? Ça nous ferait connaître du monde…
    
    Le dimanche vint et le repas se déroula, mais je remarquai du coin de l’œil que Baudouin regardait Carla d’une façon ambiguë, très ambiguë même…
    
    Quand Paco se proposa de faire la vaisselle et me proposa de l’aider, je n’y vis pas malice. Paco ne cessait de me parler, ce qui m’intrigua : en me retournant, je vis que Baudouin et Clara avaient franchi un grand pas : Baudouin, de sa main droite, pressait le visage de Clara contre le sien, comme pour souder davantage leurs lèvres pour le profond baiser qu’ils échangeaient, pendant que sa main gauche plongeait dans le corsage de sa voisine et, soutien-gorge soulevé, prenait possession de ses seins, qui ballottaient librement devant lui. Je me sentais bête : Paco faisait partie du complot et j’en étais l’enjeu : en récompense pour sa complaisance, Baudouin avait cédé à ...
    ... Paco le libre accès à mon corps ! Moi, qui avais toujours été d’une fidélité monacale (et ce, malgré de nombreuses offres de service de la part de ses meilleurs amis), voilà que mon mari me traitait comme un vulgaire bien échangeable… Mon amour-propre en prenait un sacré coup… Quel salaud ! Il ne me voyait juste bonne pour « passer à la casserole », sans autre égard pour moi !
    
    J’étais sur le point de jeter l’assiette que je tenais en main quand, jetant un dernier coup d’œil avant de partir, le trouble ressenti en Médoc renaquit… J’étais fascinée par le couple, maintenant debout, toujours enlacé, qui s’embrassait à pleines bouches, Baudouin, la braguette ouverte, dont les mains ne cessaient de pétrir les seins nus de Clara… J’avais l’impression qu’ils faisaient l’amour devant moi, et je les imaginais enlacés, nus, l’un sur l’autre, l’un derrière l’autre, l’un dans l’autre… De petits frissons commençaient à agiter mon ventre.« Merde… voilà qu’ils m’échauffent les sens… Ma fille, tu es une voyeuse bien perverse ! », puis à très nettement m’exciter. Je posai l’assiette et, reproduisant ce que m’avait montré ma cousine, je mis ma main dans mon jean qui, franchissant l’obstacle de mon slip, se posa sur mon clitoris, et me procura un plaisir surprenant par son intensité…
    
    Ils quittèrent la table et se dirigèrent vers la chambre, en se tenant par la taille, Clara torse quasiment nu, les seins en figures de proue… Troublée, mais néanmoins un peu vexée d’être mise en mesure de jeter ...