1. Margaux et son professeur (1)


    Datte: 22/03/2022, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: chacha90, Source: Xstory

    ... afin de ne pas affoler les parents de Margaux. Ils ne s’encombrent donc pas de préliminaires.
    
    Sentant le sexe de son partenaire s’introduire en elle, Margaux ne peut réfréner un premier gémissement. Fabien est doux, et prend le temps de la pénétrer. Bien entendu, ses va-et-vient s’accélèrent, mais toujours avec tendresse. Il semble conserver un semblant de timidité, comme s’il ne voulait pas lui faire de mal. Cela ne le rend que plus mignon pour Margaux, qui apprécie ce rapport "hors du temps". Lorsqu’il se permet de lui malaxer un sein, elle n’en est que plus ravie. Sa poitrine est très sensible.
    
    En dépit de leurs efforts, leurs ébats se font sûrement entendre des quelques camionneurs présents sur le site voisin, mais ils n’y prêtent pas attention. Les pénétrations de plus en plus intenses de la part de Fabien ne cessent de pousser Margaux à l’en remercier via de petits gémissements. Ces cris le rassurent, et lui donnent de l’assurance. Il n’a plus 20 ans, mais sait qu’il n’a rien à envier à ces jeunes morveux qui tournent autour de Margaux.
    
    Ils n’osent pas s’embrasser, conscients que ce rapport n’est qu’une parenthèse purement sexuelle dans leur vie respective. Au bout d’une vingtaine de minutes, Fabien jouit dans le préservatif. Son orgasme est lent, et tremblant. ...
    ... Margaux le souligne par un dernier soupir. Elle n’a pas vraiment atteint l’orgasme, mais son plaisir réside ailleurs : elle est parvenue à lâcher prise. Elle ne regrette rien, et s’amuse en voyant son amant s’écrouler à côté d’elle. Elle lui caresse le torse, sentant sa respiration se calmer doucement.
    
    Elle lui retire elle-même le préservatif et le jette innocemment dans une poubelle située à côté d’un arbre. Après s’être rhabillés en silence, ils reprennent le chemin vers la voiture, ne croisant personne sur leur passage. Le reste du trajet se passe sans encombre.
    
    De retour chez elle, Margaux salue ses parents comme si de rien n’était. Ceux-ci n’étant pas au courant de l’heure à laquelle se finissait le concert ne relèvent pas son retard. Elle s’allonge sur son lit, dans cette chambre qui n’a finalement pas beaucoup changé depuis l’adolescence. Fixant le plafond, elle fait le bilan de ce court rapport sexuel. Elle se rend compte qu’ils ne se sont rien dit, un silence qui persistera même par SMS les jours suivants. Mais elle n’en est pas attristée. Elle a apprécié ce moment d’égarement, le retour à la réalité ne la déçoit pas. Elle se sent déjà extrêmement heureuse d’avoir pu vivre ce qu’elle a vécu. A-t-elle le désir de recommencer ? Peut-être pas. Ce n’était qu’une parenthèse. 
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