Attente (1) - Histoires de Sexe

Attente (1)

Bonjour, tout d’abord, je me présente, je suis celle dont vous rêvez, celle qui vous donne une impulsion dans le ventre dès qu’elle apparaît.

Mais, plus me direz-vous.

Eh bien, je suis grande pour certains et petite pour d’autres, blonde pour toi qui frémis le nez dans mes cheveux, alors que pour toi qui trembles devant les brunes, je suis celle-ci, sans oublier les rousses sulfureuses ou les noirs corbeaux qui vous éblouissent.

Ma poitrine est juste celle que tu aimes, celle qui te donne envie de pincer son téton entre tes dents.

Bref, je suis ton fantasme.

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Je suis là, seule dans mon appartement. Je sais que tu vas venir, mais je ne sais pas quand.

Je suis prête, j’ai peur.

Mes mains posées derrière la tête, jambes écartées gainées dans des bas noirs avec escarpins à talon haut, comme tu aimes tant et juste un ensemble de dentelle noir sur ma peau. Mes yeux sont bandés. Je suis dos à la porte.

Je frémis de peur, de désir.

J’entends la porte d’entrée s’ouvrir, mais je ne dois pas bouger ni parler.

Tu ne dis rien, j’entends juste ton exclamation à ma vue, Ohhh.

Est-ce bien toi ? Quelqu’un qui serait entré sans demander ? Ou bien es-tu accompagné ?

As-tu décidé de m’offrir à un autre ?

Je ne peux pas savoir, je n’ai pas le droit de parler, je dois juste attendre et obéir.

Cette sensation est si forte, la peur, le désir, l’absence de repaire, l’attente...

J’entends des pas ...

... s’approcher, faire le tour de mon corps immobile. Une main m’effleure. D’abord doucement, puis une fessée claque sur mes fesses. Humm, pas un mot, je ne dois rien dire, mais mon corps se cambre légèrement, j’aime.

Tes mains découvrent mon corps, lentement, sensuellement. Ma peau s’irise de frisons, mes seins se tendent presque douloureusement.

Tu fais glisser mon string à mes pieds et me l’ôtes, puis mon soutien-gorge sans oublier de remettre mes mains en position initiale. Au passage, tu pinces mon téton et le fais rouler entre tes doigts, hummmmmm. Je ne peux m’empêcher de gémir, c’est trop bon.

Mes sensations sont décuplées par le fait de ne rien voir et de ne pas savoir si c’est réellement toi ou un inconnu à qui je me donne. C’est excitant.

Tu appuies sur mes épaules. Je comprends et descends doucement à genoux et glisse mes mains dans mon dos. Mon visage caresse ton entrejambe encore vêtu de ton pantalon en toile. Mes lèvres suivent ta queue en soufflant légèrement dessus, vite, descends tes vêtements, je te veux !

Enfin, je la sens contre ma joue, douce, chaude, avec cette odeur si particulière à toi qui m’enivre.

Je ne peux pas m’empêcher de sortir le bout de ma langue pour effleurer ton gland tendu. Hummm, c’est si bon, mon ventre se serre, palpite.

Nous n’avons toujours pas dit un mot.

Je lèche ta hampe délicatement, l’humidifie pour la rendre docile à ma bouche. Je pose mes lèvres sur ton gland et fais glisser toute la longueur de ta queue dans ...