1. Un si joli salon en briques rouges


    Datte: 22/03/2022, Catégories: fh, ff, fhhh, grp, frousses, extraoffre, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, totalsexe, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... durs qui s’accrochent, c’est… c’est… divin ! Pourtant, aux dernières nouvelles, je ne suis pas attirée par les femmes. Il me semblait être plutôt hétéro, et non bi, même si j’ai déjà participé à certaines soirées entre couples.
    
    Tandis que je suis perdue dans mes pensées, Géraldine s’empare de mes lèvres. Comme grisée par l’ambiance, nos peaux, nos odeurs, je ne suis résiste pas, puis nous finissons notre danse, collées l’une contre l’autre, jusqu’à ce que la musique s’arrête…
    
    Puis doucement, je reviens sur terre, tandis que nos spectateurs s’éloignent. Par leurs mimiques, certains nous félicitent. Je les remercie machinalement, comme absente. C’est mon mari qui me sort de ma rêverie, m’entraînant un peu à l’écart :
    
    — Tu vois que tu as des dispositions…
    — Euh… c’est-à-dire ?
    — Je faisais allusion à notre discussion durant le repas.
    
    Puis sans prévenir, il m’embrasse, me plaquant contre lui. J’adore ce genre de démonstration de sa part. J’aime quand il me désire, quand il me le prouve. Nous ne sommes pas ensemble depuis toutes ces années pour rien. Mais je reconnais que le baiser de Géraldine m’a troublée plus que de raison. Je me pose des questions, mais pour l’instant, je me laisse désirer par mon obsédé de mari. Chaque chose en son temps…
    
    Nous reprenons nos déambulations sous les voûtes rouges. Nous croisons plein de couples ou de groupes, nous nous mêlons parfois quelques minutes à eux, pour explorer ce salon dans lequel je m’amuse follement.
    
    Parfois, ...
    ... j’ôte mes chaussures afin de marcher un peu pieds nus, car je ne suis pas très habituée aux très hauts talons sur une si longue durée. Souvent, je descends goulûment un verre, car il fait très chaud dans ces caves, on pourrait sans problème être nu. D’ailleurs, Géraldine l’est presque, et elle s’en porte très bien ! Nous avons d’ailleurs croisé d’autres femmes encore plus dévêtues qu’elle, c’est dire ! Et aussi deux hommes pas très habillés, eux aussi. Je reconnais les avoir bien zieutés, car ils n’étaient pas mal de leur personne. J’ai même fait quelques photos assez… comment dire… sensuelles avec l’un d’eux.
    
    — Eh bien, Sandra, t’y as été de bon cœur avec ce chippendale !
    — Oh, j’ai juste fait quelques photos…
    — Oui, oui, quelques photos, avec tes mains qui traînaient un peu partout sur lui… J’ai bien vu que tu lui avais mis la main aux fesses, petite vicieuse !
    
    Sourire aux lèvres, je proteste faussement :
    
    — Moi, j’aurais osé faire ça ?
    — Remarque, j’ai fait pareil ! En revanche, contrairement à toi, je n’ai pas pensé à lui soupeser le paquet comme tu l’as fait. Zut, j’ai raté une occasion !
    — Ah bon ? Moi, j’aurais osé faire ça ?
    — Nos maris ne l’ont peut-être pas vu, mais quand tu étais avec lui derrière la colonne, moi, j’ai bien vu ce que tu as fait, ma chérie !
    
    Et sous l’œil étonné de nos hommes qui n’ont visiblement rien entendu de nos propos, nous nous esclaffons. Oh oui, je pourrais en raconter, il faudra d’ailleurs que je consigne tout ça par écrit, un ...
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