Lucie, jeune coquine virtuelle ? (2)
Datte: 22/03/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Memories38, Source: Xstory
À l’approche du vendredi soir, alors que nous avons continué à échanger des sextos et des photos plusieurs fois par jour pour faire monter la tension sexuelle entre nous, je suis chez moi et je vérifie que tout est prêt dans mon sac: Des préservatifs et un tube de lubrifiant, l’essentiel est là pour passer une bonne soirée entre adultes consentants, avec un programme qui promet une soirée explosive...
Peu avant 19h (couvre-feu oblige), je passe récupérer des sushis et arrive en bas de son immeuble. Je sonne à l’interphone: "C’est le livreur de sushis". Elle ouvre en répondant: "Dernier étage à gauche".
Je sens l’excitation monter. C’est la première fois que nous allons nous rencontrer en vrai alors que j’ai déjà l’impression de la connaître si bien.
Une fois arrivé au dernier étage, je toque à la seule porte qui est entrouverte. La porte s’ouvre, et je vois alors une belle blonde d’environ 1,60m, portant une minijupe comme elle l’avait prévu, et un beau décolleté qui m’offrait une vue plongeante sur sa poitrine qui me semblait presque plus grosse que ce qu’elle m’avait dit (85C). À ce moment-là, je n’essaie pas de dissimuler ma joie en la voyant et lui dit "Tu es superbe" avant de lui faire la bise.
— Merci, me répond-elle un peu gênée.
On commence par prendre un apéro avant de passer à table. On discute de beaucoup de choses, rien de sexuel, nous échangeons sur plein de sujets divers, ce qui rend la soirée très agréable.
Avant de passer au dessert, elle ...
... me dit calmement: "Je t’avais parlé de mon cadre qui ne tient pas dans ma chambre, tu veux bien regarder ?"
Je souris en entendant cela, car je sais que c’est le code que nous avions choisi pour signifier à l’autre que nous étions prêts à aller plus loin. Alors je lui réponds avec un grand sourire: "Montre-moi, je te suis".
Elle se lève et se dirige vers une porte qu’elle ouvre. Je découvre alors sa chambre, elle me montre un clou au mur, me passe un cadre, et me demande de l’accrocher.
Je m’approche du mur, le cadre à la main, l’approche doucement pour l’accrocher au clou. Je prends mon temps, sachant ce qu’il doit arriver par la suite.
C’est alors que je sens deux mains se glisser autour de ma taille, et j’entends Lucie me dire: "Oh merci, je n’y arrivais pas !".
Elle me retourne pour me faire face et me sourit, un peu gênée, mais visiblement contente de ce qu’il se passe.
— Comment je peux te remercier ? me dit-elle, tout excitée.
— C’est rien, ça me fait plaisir !
— Tout travail mérite une récompense, alors si tu n’as pas d’idée, j’ai peut-être ce qu’il te faut.
Elle saisit mon T-shirt, l’enlève, attrape un coussin de son lit, le pose par terre à mes pieds, et s’agenouille en face de moi, confortablement installée sur le coussin. Elle passe ses mains sur mon ventre, en descendant vers mon pantalon. Elle s’arrête au niveau de ma ceinture qu’elle prend la peine d’enlever complètement, avant de déboutonner lentement mon pantalon qu’elle retire, ...