1. Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 17


    Datte: 21/03/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bycinolas, Source: Literotica

    ... route, j'ai l'impression que le vide se fait et que mes mamelons sont aspirés. Au début les sensations sont surprenantes, pas désagréables, un effet chatouillis, celui d'une succion, mais bien plus forte que la bouche de mon dernier amant !
    
    Après quelques minutes, la surprise passée, cette aspiration répétitive des tétons devient gênante, agaçante, énervante. La traction de la trayeuse se fait plus forte, plus présente et j'ai vite les embouts douloureux. Je l'interpelle, gueule à tout va le pensant parti, mais il est resté dans les parages et vient rapidement s'enquérir de mes revendications. Mais au lieu d'arrêter la machine, c'est sa queue qu'il offre à ma bouche pour faire taire mes jérémiades. J'ai beau essayer de me concentrer sur son chibre rien à faire la trayeuse continue de me martyriser la poitrine et m'obnubile. Mes lèvres restent cependant efficaces et viennent à bout de son engin ... toujours aussi difficile le foutre au petit-déjeuner !
    
    Soulagé, Alexandre me laisse seule avec mon désarroi. Je ne la supporte plus cette foutue machine et comme je ne sais pas souffrir en silence, j'exprime pleinement ma détresse. Mais j'ai beau beugler à tue-tête il ne réapparaît qu'un bon quart d'heure plus tard, à la fin de la traite, pour arrêter les sévices, enlever les faisceaux et me soulager ! J'ai pris ma suée, j'ai même failli me pisser dessus à un moment donné ! Mes embouts ont pris une forme légèrement oblongue, mes tétons ont triplé de volume et sont extrêmement ...
    ... tendus, deux cercles formés par les "ventouses" marquent mes seins. De retour sur le plancher des vaches, il donne une petite chiquenaude sur mon téton droit qui électrise tout mon mamelon et lorsqu'il pince le droit la décharge se propage dans tout mon corps me faisant couiner derechef !
    
    - Tu vas rester sensible toute la journée, tu vas voir un vrai bonheur !
    
    J'en frémis d'avance, rien que le contact de ma blouse en la refermant me hérisse les poils. Avant d'aller enfin prendre un véritable petit déjeuner, nous passons voir où en sont les jumeaux avec la traite des chèvres. Elle en est presque à son terme et une petite demi-heure plus tard nous nous retrouvons attablés devant un copieux encas matinal. Le grand dadais enfile les calories sans toutefois quitter ma carcasse des yeux. J'ai un peu l'impression que depuis qu'il m'a vu hier, sa queue a pris toute la place libre dans son cerveau et régit ses faits et gestes. - J'ai promis à Albert d'aller retourner un de ses champs ce matin, tu m'accompagnes, m'indique Alexandre alors que je finis mon café.
    
    - C'est que j'aurai bien pris une douche moi, lui rétorqué-je afin de me débarrasser de toutes ces traces de semence qui me constellent les cuisses et qui m'obsèdent à moitié.
    
    - T'auras droit au savon plus tard, faut pas m'mettre en r'tard.
    
    Et c'est, debout à ses côtés, au son des vrombissements du moteur de son Massey Ferguson presque neuf que nous rejoignons ledit pâturage une vingtaine de minutes plus tard.
    
    - ...
«12...678...19»