-
Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 17
Datte: 21/03/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bycinolas, Source: Literotica
... les cheveux, me tire en arrière et de sa main libre me colle une baffe ! - Je te laisse le choix petite conne, soit tu reprends ma queue dans ta bouche pour que je finisse de me vidanger, soit je t'installe pour une nouvelle traite. Une petite heure devrait te faire du bien et te remettre les idées en place ! Tu verras la seconde fois est encore meilleure ! Rien que l'idée me révulse et j'en ai les nénés qui claquent de trouille. Ce goût de pisse est infect, mais la torture de ce matin a été un véritable calvaire. Dans ce choix cornélien, j'opte pour la sauvegarde de l'un de mes plus beaux atouts lors de mes tentatives de séduction en me disant que ce choix sera déjà moins long à assumer. Je me résous à ré enfourner son chibre dans mon clapet. Sans véritable confiance dans mes capacités à garder la position, sa main vient retrouver sa place pour bloquer ma tête. - Regarde-moi ... regarde-moi. Je te conseille de ne pas en laisser tomber une seule goutte si tu ne veux pas passer ta prochaine heure à couiner. Un voui à peine audible sort de ma bouche remplie. Épuisée par cette journée démarrée aux aurores, je ne peux empêcher de chaudes larmes de couler en sentant un nouveau jet d'urine courir sur mon palais et ma gorge. Il prend son temps, distillant de petits jets, me laissant le temps d'avaler et entre chaque de bien profiter de l'inconfort de ma situation et du goût immonde de sa pisse. J'ai quand même parfois du mal à avaler correctement, toussotant jusqu'à ...
... faire ressortir quelques gouttes de l'infâme liquide par mes narines ! Alors qu'il se vide sans gène dans mon gosier, ce sont mes larmes qui coulent sur ma figure pendant toute cette épreuve. Je ne sais pas si c'est cet infâme goût acide ou le fait de me dire que je viens d'avaler les déchets d'un homme qui m'écœure et me révulse le plus, toujours est-il que lorsque sa main libère ma tête pour le signifier la fin de mon supplice, je me précipite pour la mettre dans un seau à proximité et me vider la boyasse à grands coups de remugles nauséabonds ! ----- Paul nous retrouve juste avant le repas, il a insisté pour que nous le prenions avec eux alors que je le suppliais de m'accorder une fin de soirée au milieu des bulles du jacouzi. J'ai tout juste picoré dans les plats qui m'étaient proposés alors que mon estomac criait famine. La raideur du siège rustique m'a martyrisé les fesses, je ne tenais pas en place. Au terme du repas j'ai pu récupérer mes habits. Lorsque Brice m'a tendu mon soutif du bout des doigts, la forte odeur d'un foutre bien corsé m'a envahi les narines. J'ai constaté que ses bonnets contenaient une dose plutôt inhabituelle de cet immonde liquide et il a fallu les encouragements appuyés de Paul pour que j'accepte de mettre mes tétons dedans. Mon shorty n'a pas été en reste, pratiquement détrempé entièrement par la même substance, son contact sur ma peau et mon sexe en le mettant a été très pénible et écœurant. J'ai été plus que dubitative du contenu, non ...