Voyage éro-galactique (2)
Datte: 21/03/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
... dure de la puberté à pratiquement notre mort, elle n’en revient pas, pourtant j’en suis la preuve vivante.
Elle me repousse, comme hypnotisée par ma verge qui a pris sa taille de croisière, n’en revenant pas des six centimètres supplémentaires de mon engin.
— Ca ne te fait pas mal ? Vous êtes tous comme ça ?
— Plus ou moins question longueur, moi, je suis peut-être un peu au-dessus de la moyenne, mais tous les terriens sont comme ça. Ça ne te plaît pas ?
— Euh... si, mais tu vas souffrir. Tu as le plus énorme, le plus gros, le plus long sexe qu’est jamais vu et encore moins touché une Erosienne.
Que veut-elle dire par là ? Mais elle ne peut me répondre, car elle distend ses lèvres pour avaler mon sexe et elle me procure une satisfaction intérieure inconnue à ce jour. Je pousse un gémissement de plaisir, rejetant la tête en arrière. Mes mains s’appuient sur ses épaules. Tout en suçant mon gland, elle fait aller et venir sa main serrée sur le reste de la hampe.
Le bruit qui s’en suit m’excite encore plus. Je bande plus fort encore. C’est à cet instant que son poignet vient buter sur mes couilles velues. La tentation est trop forte. Elle les saisit dans sa main et les fait rouler l’une contre l’autre. Cette action me plaît. Si ça continue, je ne vais pas pouvoir me retenir et lui éjaculer dans la bouche, mais est-elle prête à me boire ?
Mais je me recule. Mon gland échappe à ses lèvres. Elle pousse un "non" de déception. Je l’installe sur mes genoux et lui ...
... caresse les cuisses avec des gestes d’une infinie douceur. Elle se cale plus confortablement sur le lit, se doutant confusément de ce qui va lui arriver. Elle se positionne mieux sur mes cuisses, face à moi, ses mains sur mes épaules.
— Tu m’as rendue très heureuse... mais je veux connaître ma première verge dans mon sexe.
Elle se laisse partir en arrière, écarte les jambes et s’installe sur moi, mon membre douloureux coincé entre nos deux ventres. Le contact de ma matraque l’électrise, prête à la saillie. Elle m’embrasse dans le cou. Je glisse mes mains sous ses fesses et la soulève, écarte les deux globes et lui dit :
— Axilie, j’ai très envie de toi... je peux te prendre ?
Elle écarte au maximum les cuisses. Ses mains écartent ses lèvres intimes pour fendre son sexe. Elle s’amuse de mon envie débordante. Elle joue de mon gland sur sa vulve et son clitoris, imaginant la grosse tête chercheuse entrant et sortant, s’attardant sur la vulve offerte aux portes béantes, humide, palpitante et avide.
Je n’y tiens plus, mon gland écarte les lèvres, repousse les chairs et la pénètre tout en douceur avec prudence. Je ne rencontre aucune résistance, bien au contraire, j’ai l’impression de m’enfoncer dans un antre étroit plein de graisse qui s’adapte automatiquement à mon calibre comme une seconde peau. Je joue pendant un long instant avec mon gland sur les premiers centimètres de son sexe, faisant monter son plaisir, puis j’entre encore et toujours, sans aucune ...