1. ... d'heures en heures...


    Datte: 20/03/2022, Catégories: fh, hotel, cérébral, Masturbation caresses, Oral préservati, pénétratio, confession, rencontre, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    Résumé :
    
    Une rencontre, fortuite pour l’un, voulue et provoquée par l’autre, mène PY, homme solitaire et taciturne, à un lâcher-prise total. Depuis, Chlo, seule femme ayant su susciter son attention, rythme retrouvailles et jouissances.
    
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    Chlo
    
    J’ai assuré grave ! J’en r’viens pas !
    
    J’avais tout prévu. Le timing. Le mot donné au pingouin. L’hôtel. Tout tout tout. Tout nickel. Comme sur des roulettes. Mais pas prévu qu’il le lise pas mon mot.
    
    Putain ! J’sais bien qu’il est pas normal, mais quand même ! Merde quoi ! Quand t’as du courrier tu l’ouvres non ?
    
    Bah lui non. Il repose son verre dessus. Comme s’il savait déjà. Ou alors il voulait pas savoir. Pour retarder l’moment. Comme quand tu déballes un cadeau. Moi j’aime les cadeaux. Alors quand on m’en fait un j’arrache le papier. Mais pas lui. Sûre qu’c’est l’genre à déballer tout propre. À replier le papier et à l’garder comme un trésor.
    
    Ouais c’est ça. C’était trop tôt. J’ai été trop vite.
    
    Pourtant j’avais tout prévu. Sauf qu’il lise pas. Alors j’ai sorti des rails. J’ai improvisé. J’aime pas bidouiller. Surtout quand j’ai passé des jours à tout prévoir. Tout régler aux p’tits z’oignons. Mais j’en pouvais plus d’attendre. Alors j’l’ai embrassé.
    
    Pas qu’c’était pas prévu. Mais pas si vite. Pas au bar.
    
    J’balisais grave. J’savais qu’il dirait rien lui. Mais quand même ! J’flippais ma race. Surtout que l’pingouin il zyeutait. Y’a pas loin qu’ils z’en ...
    ... ont viré un pour faire c’qu’j’ai fait. Bon c’est vrai qu’là c’est moi qu’ai commencé. Pis personne n’avait giflé personne. Pis quand c’est la femme qu’embrasse la prems ça passe mieux.
    
    J’lui ai fait des p’tits bisous. Des p’tits smacs. Il avait juste la bouche un peu ouverte. L’baiser c’est l’avant-goût. La promesse. Faut l’soigner. Surtout l’premier. S’il est pas bon t’as kék’chose qui t’dit mauvais coup. Alors j’l’ai joué cool. Pas pressée. Pas en manque. Pourtant j’en crevais d’puis un moment.
    
    Elle a bon goût sa bouche. Il pue pas du bec lui au moins. Sa langue aussi elle est bonne. Et ses joues. Vache qu’elles sont douces ! Rasées nickel.
    
    Quand il a écarté les cuisses j’savais. Il m’invitait dans son monde. Il m’accueillait chez lui.
    
    J’ai r’pris du courage. Sortis la grande classe. J’le tenais. J’l’avais en main. J’l’touchais. Fallait qu’je sache s’il était dans l’même état qu’moi.
    
    J‘étais plus moi-même. Comme l’couillon qui m’a faite cocue pac’qu’il pense qu’avec sa queue. J’contrôlais plus rien. En roue libre. Plus d’frein.
    
    J’ai pas vraiment fait exprès d’lui toucher. Mais il y a tremblé. Moi j’aime pas trop qu’on m’tripote les seins. J’sais bien qu’c’est une zone érogène pour beaucoup. Mais moi ça m’chatouille plus qu’autre chose. Mais fallait que j’sache. Pour être sûre. J’suis r’passée dessus. Pareil. Il aime lui. Et moi j’aime faire plaisir. Mais là j’pouvais pas foutre les mains dans sa chemise quand même ! Ça se fait pas ça en public ça !
    
    Pis ...
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