Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (11)
Datte: 20/03/2022,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... véritable cours de près d’une heure, que sont venues suivre les deux sœurs. Vers 11 h, il se termine. Je les vois tous rentrer à nouveau dans le bungalow. Quelques minutes passent, puis « Monsieur » Stribec sort, suivi des trois filles, toujours les seins à l’air. Il les emmène derrière le bungalow vers ce qui ressemble à un enclos ceint d’une barrière en bois. Me voilà tenu de trouver un nouveau poste d’observation. Et c’est derrière une baraque en bois adossée à la barrière que je trouve mon bonheur. Là, je découvre que la scène est un peu plus éloignée, peut-être sept ou huit mètres, mais ça va. Je suis tout de suite happé par ce que je vois : il y a un nouveau protagoniste, qui se montrait discret jusque là… et quel protagoniste : un âne ! Parfaitement, un âne ! Et le présenter ainsi à des filles presque nues interroge : quelle idée scabreuse a pu germer dans le cerveau du père ?
De là où je me trouve, Sonja, reconnaissable à son bronzage « pain d’épice », me semble nerveuse. Serait-ce à l’idée de découvrir le projet de son père? Les deux sœurs n’ont pas l’air d’être sur leurs gardes. Peut-être sont-elles même prêtes à lui avouer avoir déjà fait « ça » avec un chien. Ce qui l’autoriserait à sauter sur l’occasion. Pour le moment, on en est juste à flatter le cou et le dos de l’âne. Les choses évoluent quand je vois le père s’adresser à sa fille. Et la voilà qui se défait de son string ! Puis tout s’enchaîne quand les deux sœurs en font autant, et même « Monsieur » ...
... Stribec. Tout le monde à poil devant l’âne. Je peux voir le sexe épais du père, quasi dressé à l’horizontale, excité à la perspective de ce qu’il a, certainement, imaginé.
L’animal paraît calme. J’imagine « Monsieur » Stribec, assurant à ces demoiselles que l’âne est déjà habitué à ce que des mains féminines lui tripotent son imposant sexe. Et, voire même, qu’il apprécie la chose. Pour le moment, ça reste au niveau d’une attraction. Sonja monte à califourchon sur l’âne, à cru, et en route pour une petite promenade dans l’enclos. Le fait qu’elle soit nue stimule mon imagination : son abricot doit frotter contre le poil de l’animal. Et je ressens la même chose quand Éva et Jana ont droit au même petit tour. Les deux sœurs sont visiblement ravies. Elles ont certainement connu le délicieux titillement que doit procurer le contact de leur chatte avec la toison de l’animal.
J’espère maintenant des choses plus scabreuses, mais les minutes passent et rien ne vient, même si je vois la main de Sonja palper le ventre de l’âne. En jetant un coup d’œil à ma montre, j’en comprends la raison : il est 11 h 30, et il faut près d’un quart d’heure de marche pour rejoindre la résidence. Donc, pas le temps de se lancer dans une telle aventure. Mais les deux sœurs tiennent, sans doute, à offrir une compensation à leur hôte : devant sa fille, elles le branlent de concert. Debout, face à lui, Éva joue du poignet pour astiquer sa belle queue tandis que Jana, sur le côté, malaxe ses couilles. Et il ...