Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (11)
Datte: 20/03/2022,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... encore 11 h 30. Je les suis, toujours à distance, ce qui me permet de repérer des voyeurs flashant sur le postérieur d’Éva. Bon, il faut dire qu’elle marche en ondulant des hanches. Je ne serais plus le seul à participer ce jeu, ou quoi ?
Une fois sorties de la plage, elles traversent la route. Vont-elles déjà rentrer à la résidence ? Non, les voilà qui en longent le mur d’enceinte et se dirigent vers le petit terrain adjacent où j’ai installé ma tente. Elles passent devant puis empruntent un sentier qui monte je ne sais où. Elles doivent connaître un petit coin tranquille où elles pourront donner libre cours à leurs fantaisies. Un centaine de mètres plus loin, une masure en ruine : seulement les quatre murs et une ouverture, sans doute ce qui fut la porte d’entrée. Elles s’y dirigent et je les vois entrer. Le jeu se complique car vu la petitesse de la bicoque, impossible pour moi d’y entrer : je serais trop près d’elles. Alors je contourne la bâtisse et… chouette ! Là, sur ce mur, à hauteur d’homme, une brèche, une sorte de grosse fissure, longue comme le bras et de la largeur d’une main. Un truc idéal pour voyeur : j’ai vue sur quasiment tout l’intérieur, sans que les filles aient l’impression de se faire mater.
Et ça démarre vite : à peine suis-je à mon poste qu’elles entreprennent de se dévêtir. Ce qui n’est pas tout à fait exact. En fait, l’une déshabille l’autre : elles doivent trouver ça plus coquin. Jana fait sauter l’agrafe du soutien-gorge d’Éva et le lui ...
... subtilise prestement ; quant au string, pas de manières : elle défait les nœuds gansés de chaque côté et Éva, ayant opportunément écarté les jambes, il choit à ses pieds. Il faut à peine plus de temps pour que Jana se retrouve, elle aussi, à poil. Elles étalent leurs serviettes sur l’herbe, contre le mur qui, à cette heure du jour, procure un peu d’ombre et elles s’allongent, sur le dos cette fois. Imaginant bien que je les observe depuis la fissure du mur, à moins de deux mètres, elles écartent bien leurs cuisses pour que je puisse reluquer leurs chattes luisantes. Un régal pour les yeux.
Puis elles se mettent à plat ventre et, cette fois, ce sont leurs fesses que les sœurs me donnent à admirer. Et ces vicieuses veillent à garder leurs cuisses bien écartées. Ça devient obscène. Mater ces abricots gorgés de désir ou ces globes serrés de leur postérieur est un supplice bien agréable. Le reste l’est tout autant, comme les deux jolies paires de nichons, ces petits ventres surmontés d’un nombril charmeur… « Être à poil tout le temps » comme disait Jana, pas plus tard qu’hier… Oh oui, mes chéries, vous voir toutes nues vingt-quatre heures sur vingt-quatre, ou presque…De la viande sur pied… Hé, mais c’est que je deviens vulgaire !
Ah… les voilà qui se redressent et se lèvent. Jana consulte sa montre qu’elle avait placée dans une petite boîte en plastique. Visiblement, l’heure du déjeuner se précise. Mais avant de se rhabiller, elles se font un petit plaisir en s’embrassant à ...