Emma ou la découverte du plaisir (1)
Datte: 20/03/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... Emma.
— Toi aussi tu es très belle, mais je te le répète, je ne suis pas lesbienne.
— Pourtant, tu as bien plaqué ta main sur mon sexe, je n’ai pas eu l’impression que ça te gênait.
— C’était pour te rendre service.
— Si tu le dis.
Nous discutons un peu, j’en profite pour la détailler, elle est grande, très beaux seins ronds et hauts, très beau cul, pubis lisse et bien bronzé comme le reste de son corps et un sexe très discret que l’on distingue à peine entre ses cuisses. Sans être super joli, son visage est agréable sous de longs cheveux blonds qui lui tombent sur les épaules. Elle me dit qu’elle n’est pas que lesbienne, mais seul un homme la touche et lui fait l’amour, elle n’aime pas les autres. Je n’insiste pas. Elle me demande combien d’amants j’ai eus, elle est sidérée d’apprendre que je suis toujours vierge et que je n’ai jamais connu de plaisir avec une autre personne.
— Quel âge as-tu ?
— Dix-huit ans et un peu plus de six mois.
— Tu es née avec le millénaire, quand exactement ?
— Pile-poil le premier janvier deux mille un vers neuf heures dix du matin, j’ai été le premier bébé de l’année, du siècle et du millénaire de ma région, le deuxième en France une heure vingt-huit minutes après Hicham à Beauvais.
— Vu ton âge, et ton physique, je pense que ça va s’arranger.
— C’est pour ça que je suis là, et toi, quel âge as-tu ?
— Vingt-deux ans.
— Et tu as fait l’amour pour la première fois à quel âge ?
— C’était un cadeau ...
... d’anniversaire pour mes seize ans.
— Un cadeau de qui ?
— Ma sœur.
— Et c’est qui qui t’a dépucelée ?
— Ça, je ne peux pas te le dire.
— Tu as aimé ?
— Oui, ça a été très doux, mais ça ne m’a pas convertie, je reste lesbienne, comme je te l’ai dit, je n’accepte qu’un homme dans mes trous.
— Devant et derrière ?
— Oui et aussi en haut, j’aime avaler le sperme.
Je trouve ça un peu bizarre, mais je ne dis rien.
— Tu es là sans ta famille ?
— Ne me parle pas de famille.
— Excuse-moi, mais je suis étonnée de te voir seule dans ce grand bungalow.
— J’ai quitté ma famille le premier janvier deux mille dix-neuf, jour de mes dix-huit ans, jour de ma majorité.
— Volontairement ?
— Oui, j’en avais marre de mon beau-père, c’est un con qui se prend pour le chef, je ne supportais plus.
— Ta mère a divorcé et s’est remariée ?
— Non, mon père est mort quand j’avais onze ans, cancer, ma mère s’est remariée pour que j’aie soi-disant un père, mais elle a mal choisi son mec.
— Excuse-moi, je ne savais pas.
— Tu ne pouvais pas savoir, en fait, je me suis tirée pour ne plus être emmerdée par lui.
— Il a été présent ?
— Pas sexuellement, il se fout complètement de moi, c’est mon fric qui l’intéressait, rien d’autre.
— Ton fric ?
— Oui, mon père avait une fortune personnelle, il s’est marié sous le régime de la séparation des biens, et quand il a su qu’il ne s’en sortirait pas, connaissant ma mère, il a mis en place sa succession, me ...