Sept huit neuf - Histoires de Sexe

Sept huit neuf

... village.
— Dans ce cas, commençons par assez simple : vide-moi les couilles avec ta bouche, petite pute.

Elle m’adresse un large sourire de connivence et s’exécute aussitôt, sans aucune hésitation. J’aurais cru qu’elle aurait protesté ou minaudé un peu. Même pas ! L’instant d’après, couchée près du volant, elle me fait une très belle fellation à laquelle j’ai du mal à résister.

— Eh bé ! T’es une spécialiste de la sucette, toi !

Elle ôte ma colonne de chair de sa bouche :

— Tu dis ça pour me faire plaisir ?
— Non, je dis ça parce que c’est la stricte vérité ! T’es une sacrée pipeuse ! Pour un peu, tu pourrais en faire ton métier !
— Ne me tente pas, mon biquet !

Puis elle continue sa voluptueuse sucette. Je ralentis un peu, car je ne voudrais pas avoir un accident. Angèle est diablement efficace autour de ma verge, un talent que je ne lui connaissais pas. Je serre les dents, je sens que je ne vais pas résister longtemps.

— Attention, ça va jaillir !
— Hmm-hmm !
— Et en bonne petite pute que tu es, tu avaleras tout, bien sûr !
— Hmm-hmm !

L’instant d’après, je me laisse aller, je tapisse cette nouvelle bouche de mon sperme, et je constate avec satisfaction qu’Angèle m’obéit, ma semence disparaît dans sa gorge. Jouir tout en conduisant, ce n’est pas la meilleure chose à faire d’un point de vue sécurité ! Mais c’est diablement bon !

— Allez, allez, on nettoie bien la bite du monsieur, petite salope !
— Hmm-hmm !

Quelques instants plus tard, ...

... elle se redresse, essayant sa bouche du revers de sa main :

— Alors, mon biquet, ça t’a plu ?
— Beaucoup ! Tu es franchement douée !
— Merci, merci…
— Si j’avais su que t’étais si bonne, je te l’aurais demandé bien avant !
— Chaque chose en son temps, mon biquet…

Peu après, j’arrive sur la place du village. La boulangerie-pâtisserie est sur le côté. Je gare la voiture, puis je me réajuste comme je peux, je me sens franchement vidé, épuisé. Je soupire un bon coup avant de sortir. Angèle se moque de moi :

— Pourquoi ce gros soupir, mon biquet ?
— Mets-toi à ma place, tu viens de me faire une fellation d’enfer, il faut que je retrouve mes esprits, que j’atterrisse sur terre.
— Je te fais tant d’effet que ça ? C’est flatteur… Allez, viens, on va chercher le gâteau.
— D’accord.

Angèle se reboutonne un peu avant de sortir de l’habitacle. Quelques minutes plus tard, nous revenons à la voiture avec la pâtisserie, déposée avec précaution sur la banquette arrière. Nous nous installons, mais je ne redémarre pas tout de suite. Je pose ma main sur sa cuisse :

— À ton tour, Angèle. J’attends ton idée.
— Pas maintenant… Mais si tu as une autre idée…

Je caresse sa cuisse, repoussant le tissu :

— Ah, tiens, justement une idée : ces prochains jours, je pourrais t’imposer des tas de choses…
— Comme quoi ?
— Je te les ferai parvenir en temps et en heure par mail ou par SMS.
— Euh… évite les mails, car mon mari jette parfois un coup d’œil sur mes messages…
— Ah bon, ...