Chapitre I - Born again.
Datte: 19/03/2022,
Catégories:
ff,
fplusag,
jeunes,
oncletante,
caresses,
intermast,
Oral
fdanus,
portrait,
lesbos,
Auteur: Iovan, Source: Revebebe
... le souffle s’est accourci, maintenant enfonce avec la plus grande délicatesse quatre doigts dans un océan de douceur, de tiédeur et de soie, la plongeant dans une véritable extase.
Rachel a saisi l’avant-bras de sa belle maîtresse et, les mâchoires crispées, aspirant l’air entre ses dents serrées, pousse la main de sa tendre bourrelle vers son sexe implorant. Avec un râle, Pauline dont l’excitation ne cesse de monter, enfonce sa main jusqu’à la paume, bloquant au niveau du pouce, dans le mignon con offert et ruisselant de son amante. Puis la retire pour, doucement, l’enfoncer encore.
Rachel, halète, suffoque, cherche son souffle, qui se libère dans un sanglot de jouissance éperdue. Pauline a compris et réitère son geste avec une lenteur étudiée. Et c’est le même sanglot, brisé, de plaisir ineffable. Elle parvient à hoqueter :
— Oh ! Encore… ! Je t’en supplie… ! Encore !
Et sa belle maîtresse, avec une joie et un sourire qu’elle ne se connaissait pas, enfonce à nouveau sa main dans l’antre suppliant de son amante qui geint et râle, puis la ramène et l’enfonce encore, au comble d’une joie féroce qui l’a envahie sans crier gare, plus fort, plus vite, râlant de plaisir, déclenchant un nouvel orgasme de Rachel, qui jouit une nouvelle fois dans un long sanglot rauque.
Rachel est retombée sur l’oreiller, vaincue par une tension érotique qui la comble et l’épuise, elle gémit encore son bonheur et sa joie lascive. Elle contemple entre ses paupières mi-closes, reprenant ...
... un souffle qui lui fait défaut, sa belle amante dressée entre ses jambes écartées, qui la fixe, une expression farouche dans le regard. Pauline s’est emparée du pied de sa belle maîtresse qu’elle baise et qu’elle lèche. Et, toujours la regardant, descend à la cheville fine, effleure le mollet, toujours, ce regard… elle baise aussi le genou, puis se penche, et c’est l’intérieur de la cuisse qu’elle mordille maintenant, et toujours ce regard, en dessous…
Rachel sent à nouveau son souffle s’accourcir, la poigne d’un désir terrible lui tord le ventre, et c’est en haut de sa cuisse, la brûlure délicieuse d’une morsure qui la jette à nouveau des affres de jouissance. Saisissant la tête de son amante, elle la porte à son sanctuaire que celle-ci dévore de baisers et de morsures qui meurtrissent et ravissent la belle suppliciée, râlant, sanglotant, vagissant sa jouissance.
Pauline se redresse. Rachel, qui fixe son amante d’un regard implorant, s’empare de son poignet et guide la main, dont elle réunit les doigts sur son sexe.
Pauline a compris. Elle sait ce que lui demande sa belle maîtresse et cela l’excite au plus haut point. Elle y a pensé, d’elle-même, quand elle a vu sa belle chérie jouir de prendre ses quatre doigts.
Elle se redresse, se positionne entre les jambes offertes de la belle Rachel qu’elle n’a pas quittée de son regard qui se fait dominateur. Rachel qui l’implore et la supplie.
— Ooh… ! Viens… ma belle… Prends-moi… ! Je t’en prie, oh ! Ta main… Chérie… ...