Elle voulait me surprendre (1)
Datte: 18/03/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: val9, Source: Xstory
... Paul sursaute et repousse la main de Michel qui lui dit en souriant :
— Elle a de beaux nichons ma femme, elle te fait envie hein ?
Paul reste coi, il ne sait que dire. Son regard reste bloqué sur l’entrejambe largement ouvert de Carole. Elle le fixe droit dans les yeux, et fait descendre sa main sur son bas-ventre. Ses doigts glissent sur la fente qui n’est protégée que par le fin tissu de la culotte. Ses doigts fins montent et descendent de nombreuses fois sur la fente qui s’humidifie rapidement. Une tache de plus en plus grande s’étend sur la culotte. Paul ne peut détacher ses yeux. Sa queue emprisonnée dans le carcan de ses vêtements lui fait terriblement mal. Michel a sorti son membre et la caresse doucement, ses yeux brillent de mille éclats. La culotte de Carole s’insère dans le sillon des grandes lèvres. Le tissu est de plus en plus mouillé. Carole agace sa perle d’amour, elle appuie dessus en soufflant comme un animal en rut. Paul n’en peut plus, il se lève, s’approche de Carole.
Il se met face à elle, pose ses mains sur les épaules de la provocatrice et fait tomber le corsage. Il s’agenouille, fait glisser le zip de la fermeture éclair de la jupe et la tire vers le bas. Il entraîne au passage la culotte trempée de cyprine. Maintenant, Carole est entièrement nue. La queue de Paul est douloureuse, il l’extirpe de sa prison ...
... de tissu, elle se dresse fièrement, il la branle doucement pour en apaiser la douleur. Il regarde Carole, la coquine ouvre les jambes. Paul lui écarte les lèvres vaginales et sort de son écrin la perle rare. Il la presse doucement entre son pouce et son index et la branle doucement. Rapidement, Carole geint. Elle ondule du bassin, son bouton enfle de plus en plus la pression monte dans son corps.
Michel qui ne rate rien du spectacle se branle énergiquement en serrant les dents. Sa main décalotte à chaque descente le gland violacé, il ressemble à un bolet tellement il est large et épais. Le bougre grimace, la tension monte atrocement, sa queue est impressionnante, les veines gorgées de sang la rendent monstrueuse. Paul plaque sa bouche sur la vulve noyée, il aspire tout le jus qui s’y échappe. Sa langue joue avec le bouton de chair un bon moment, avant de s’enfoncer dans la gaine brûlante. L’appendice râpeux fouille les moindres recoins du conduit en ébullition. Carole gémit comme une bête prise dans un piège, sa respiration s’accélère, son souffle est devenu court.
La bouche avide de Paul s’empare à nouveau de la perle, et la suce sauvagement. Carole se cabre, pousse un râle terrible et remplit la bouche du suceur avec son abondante cyprine. Michel souffle comme un bœuf il se raidit et envoie sur les sols plusieurs décharges de semence.