1. Thérapie familiale (38)


    Datte: 18/03/2022, Catégories: Hétéro Auteur: AnaLyse, Source: Xstory

    ... y a deux ans alors que je venais à peine de finir mes études, j’ai été commise d’office pour défendre un berger dont le chien avait tué celui d’un chasseur. Et comme je voulais voir mon tout premier client pour préparer ma plaidoirie avant d’aller au tribunal, j’ai fait la connaissance de ton Papy à l’auberge de Saint André de Valborgne, où nous nous étions donnés rendez-vous. Je l’ai trouvé très séduisant malgré son âge, mais également très ouvert d’esprit puisqu’il m’a raconté en détails de quelle manière on vit ici. Ensuite il m’a proposé de monter pour voir le lieu du drame, et une fois dans la grange lorsqu’il s’est déshabillé j’ai fait comme lui, car je n’étais plus une oie blanche depuis déjà pas mal de temps, même si je n’étais pas encore une adepte du nudisme ni des joies du sexe en plein air.
    
    Comme pour ménager le suspense Aurélie marque une courte pause, puis elle continue :
    
    ― Contrairement à pendant le repas, nous avons très peu parlé pendant la grimpette. Mais il faut dire que je marchais devant et lui derrière, et j’étais obligée de faire attention où je mettais les pieds alors je ne pouvais pas me retourner. Mais j’étais excitée car convaincue qu’il lorgnait mon cul tandis que j’avançais, et pour lui montrer que ça me plaisait je me suis mise à en faire des tonnes. Me déhanchant à chaque fois que je mettais un pied devant l’autre, et me penchant en avant à la moindre occasion pour admirer une petite fleur ou un insecte, comme si je n’en avais jamais vu ...
    ... auparavant. Quand nous sommes arrivés dans la clairière, et que je me suis pour la centième fois pliée en deux afin d’enlever un caillou imaginaire dans une de mes chaussures, il a posé ses mains sur mes hanches et il m’a directement enfilée à la hussarde...
    
    Stéphanie intervient :
    
    ― Le coup de la clairière, c’est un grand classique chez les bergers.
    
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    Aurélie reprend sa phrase là où elle a été interrompue, sans paraître contrariée que son aînée lui ait coupé la parole :
    
    ― ... sans que je sache à quel moment son sexe s’était mis en érection, puisque je ne m’étais pas retournée une seule fois pendant toute la montée. Bien évidemment j’étais plus que consentante et j’ai pris grave mon pied, car je ne m’étais jamais avant ce jour faite tringler en pleine nature et ça m’avait drôlement excitée. J’ai passé la nuit ici alors que ça n’était pas prévu, il m’a sodomisée dans la soirée, et au petit matin je l’ai sucé pour le remercier de son accueil plus que chaleureux, puis je suis retournée à la civilisation.
    
    La narration se poursuit :
    
    ― Nous avons gagné notre procès étant donné que les chasseurs n’avaient rien à faire ici, et l’année d’après je suis devenue sa pensionnaire puisque comme le courant était passé à fond entre nous, nous étions restés en contact. Lorsqu’il m’a annoncé il y a quelques jours qu’il allait t’accueillir, il m’a proposé plusieurs alternatives. La première étant que nous cohabitions tous les trois, ce qui n’aurait pas été juste puisque Théo ...
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