1. Comment j'ai rencontré Magda


    Datte: 18/03/2022, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Oral nopéné, bourge, Auteur: Cactus, Source: Revebebe

    ... J’aurais probablement dû reculer, faire semblant de me débattre, mais je suis tétanisé. Le pouvoir s’est complètement inversé. Une magicienne… une sorcière ?
    
    Elle se met à m’embrasser à travers ma braguette. J’entends un bruit presque vulgaire de succion, elle en fait trop, mais ça ne m’empêche pas d’être extrêmement excité. Puis mes boutons sautent un à un, ce qui me soulage, car j’étais un peu à l’étroit dans ce jean. Elle prend un malin plaisir à faire durer le déballage du paquet puis reprend ses bisous, cette fois à travers mon caleçon. Je sens déjà l’humidité de ses lèvres sur mon pénis et ça me fait un effet intense. Je me demande si elle a l’intention de mouiller l’intégralité de mon caleçon tellement cette étape dure longtemps. Je réalise que je n’ai toujours pas ouvert les yeux. Peut-être pour ne pas voir la réalité en face ?
    
    Elle me retire ensuite mon jean, étape pour laquelle je lui apporte mon aide : impossible maintenant de nier ma participation à cette débauche. Puis vient le tour du caleçon qu’elle fait descendre avec ces dents, comme une petite chienne. N’en pouvant plus, je recule la chaise pour la voir s’exécuter. Son visage est transformé. Elle ressemble à une guerrière prête à tout pour obtenir son butin de guerre. Une fois que le caleçon arrive au niveau de mes chevilles, elle me soulève les pieds puis le garde dans sa bouche en bougeant la tête de gauche à droite comme si la petite chienne était fière d’avoir obtenu son nonos. Et encore ce ...
    ... regard, plein de certitudes, qui me dit : il m’a fallu à peine cinq minutes pour te faire craquer, amateur. Elle relâche son butin et s’approche de sa cible.
    
    Ma queue est tendue et mes boules touchent la chaise. Je suis un peu mal à l’aise de souiller la chaise familiale sur laquelle dîne probablement le pater familias, mais je n’ai pas trop le temps d’y penser. Elle tire sur mes fesses pour me faire m’approcher du bord de la chaise et commence à me lécher les couilles avec avidité. Elle les soulève et m’en lèche l’intégralité de bas en haut, de gauche à droite. Parfois, elle m’en gobe une, ce qui n’est pas très agréable, mais qui suis-je pour me plaindre ? Elle crache ensuite dans sa main et entreprend une branlette maladroite.
    
    J’entrevois donc une relative inexpérience, derrière ses airs de celle à qui l’on ne la fait pas. Je veux sa bouche. J’appuie sur ma bite pour qu’elle soit parallèle à la chaise et dirige la tête de ma petite chienne vers mon chibre. Elle l’avale, goulûment dans un premier temps, puis exprime quelques haut-le-cœur. Deuxième preuve de son inexpérience. Je n’insiste pas et la laisse gérer à son rythme. Elle n’est peut-être pas très expérimentée, mais elle a quelques tours dans son sac. Elle m’embrasse le gland tout en me malaxant les couilles et fait des tours avec sa langue autour de mon sexe, puis elle embrasse délicatement mon frein, ce qui est une sensation que je n’avais jamais encore expérimentée et qui est délicieuse. Enhardi par mes soupirs de ...
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