Comment j'ai rencontré Magda
Datte: 18/03/2022,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
Oral
nopéné,
bourge,
Auteur: Cactus, Source: Revebebe
... maître ». La dernière fois, il m’avait semblé moche, mais là, il me fout carrément les boules… C’est sanglant et dégueulasse.
— Bonjour, Monsieur. Vous allez bien ?
— Oui, merci Paula.
— Oh ! Monsieur connaît mon prénom ?
— Oui, Madame me l’a dit.
— Bien, très bien ! Suivez-moi, la famille vous attend.
Quoi ? La famille m’attend ? On va quand même pas se taper les présentations générales avec le paternel ? Eh bien si, ça ne loupe pas ! Je suis Paula dans l’autre aile de la maison, et arrive dans ce qui semble être un salon. Je ne sais pas nommer les pièces dans les grandes maisons bourgeoises alors vous excuserez mon inexactitude. Chez moi on a un salon, une cuisine, une chambre et basta. Ils sont là, les trois ! Y aurait eu un chien assis à côté que j’aurais eu le parfait exemple de la bonne petite famille. C’est le pater familias qui prend la parole en premier tout en me serrant la main :
— Bonjour, jeune homme.
— Bon… bonjour monsieur.
J’étais un peu troublé. Il ressemblait à une caricature du petit gars bien propre sur lui avec l’équivalent d’un polo Ralph Lauren sur les épaules et un short de tennisman du plus bel effet. Le genre de mec dont j’aime baiser la femme.
Elle intervient d’ailleurs :
— Bonjour Ben, un plaisir de vous revoir.
— Bonjour, Madame, plaisir partagé.
Elle aussi me serre la main. Le contraste de la situation m’amuse quelque peu…C’est bien la même main que t’as utilisée pour le branler la dernière fois ? Hein, juste pour être ...
... sûr ? Je m’abstiens bien évidemment de faire le commentaire, mais je ne peux m’empêcher de noter qu’elle a troqué sa jolie robe rouge pour une tenue plus sportive : elle aborde une minijupe de tennis et un débardeur blanc qui laisse légèrement transparaître ses tétons… ses délicieux tétons. L’espace d’une seconde, j’en oublie la situation dans laquelle je suis et m’imagine lui arracher son débardeur, lui descendre sa culotte, et la prendre intensément.
— Et voici notre Magda.
Ouf, le fait qu’elle reprenne la parole me sort un peu de ma torpeur. La voilà donc, cette fleur… Eh bien, elle a déjà bien poussé ! C’est une très jolie jeune fille qui ressemble un peu à sa mère, même si ses cheveux sont d’un brun encore plus prononcé. En revanche, je ne reconnais pas les traits du père. D’ailleurs, si vous me demandiez maintenant de faire un portrait-robot du paternel, j’en serai bien incapable. Au vu de ce qui s’est passé cet été-là, le pauvre bougre mériterait tout de même un peu d’attention, mais je crois que mon cerveau l’a complètement occulté.
Madga me sourit timidement et lâche faiblement un « bonjour ». Les présentations terminées, il reste à régler la question financière. Un peu gêné, j’indique mes tarifs de 50 euros de l’heure. Le père acquiesce sans broncher :
— Ce n’est pas un problème, nous sommes au courant de vos qualités et vous avez fait une très forte impression à ma femme.Tu m’étonnes ! J’attends cependant un comportement exemplaire, et pour être sûr que ...