1. Véronique au bureau (4)


    Datte: 13/08/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: jean-marie026, Source: Xstory

    ... dans l’urgence de la situation.
    
    Yeux mi-clos, tête appuyée contre le mur, je me laisse aller dans le mouvement, jouissant, étouffée, me mordant les lèvres, pour ça.
    
    Reprenant lentement mes esprits, juste soulagée par un clitoris encore bien assoiffé de plaisirs, je me rajuste, après m’être épongée avec ma culotte de ce matin, la souillant un peu plus, essuyant la glaire qui ruisselle à l’intérieur de mes cuisses et sur mes lèvres vulvaires, sans oublier l’objet de mon désir, mon pénis clitoridien, le bijou de ma vie, sans qui, mes plaisirs n’existeraient pas, dont j’en ai découvert l’existence très jeune, l’Amour de ma vie.
    
    Juste le temps de me remettre de tout cela, que la porte toqua.
    
    « Oui, entrez » par réflexe, oubliant la petite culotte sur le rebord de la table ronde, qui me sert lors de réunion avec ma collaboratrice, Sabine.
    
    La porte s’ouvre, sur la petite Ana, un dossier appuyé contre ce chemisier, qui avait été parfumé d’urine.
    
    Dans son regard, Ana, écarlate, a beaucoup de mal à cacher sa honte, celle d’être souillée, celle de ne pouvoir parler de ce que Fauve lui fait subir, par son emprise qu’elle a sur elle.
    
    Entre... Ferme la porte et approche... Nous allons nous mettre là...
    
    Je m’approche d’elle, face à face, debout, nous échangeons un long regard, aussi désirable que cette main, avec un brin d’interrogation. Je lui caresse sa joue gauche, tendrement, avant de lui poser l’autre main, pour garder longuement, son visage, ...
    ... laissant mes deux pouces faire un va et vient sur ses lèvres, l’embrassant à pleine bouche, Ana répond à mon baiser, en laissant le passage de ma langue, qu’elle lui aspire, s’enlaçant, ses bras accrochés à mon cou, laissant tomber son dossier à nos pieds yeux clos.
    
    Mes mains abandonnent son doux visage d’ange, pour commencer une visite plus...
    
    Prenant mon temps, je caresse, la moindre parcelle de son corps, se laissant dégrafer son chemisier encore humide à certains endroits, l’ouvrir et la caresser du bout des doigts, ses petits mamelons, qui pointent de désir, sont réactifs, hyper sensibles, et déjà, gémissante, offerte à ma douce caresse.
    
    Continuant ma visite, ma main gauche, vous savez pourquoi !!
    
    C’est cela !!
    
    La plus experte, s’est glissée furtivement sous son court pan de jupette et venir se poser sur son ferme fessier nu. Aussitôt, je me dégage d’elle, la regarde.
    
    Eh, qu’as-tu fait de ta petite culotte ??? Ce matin, tu m’as dit que tu en portes une tout le temps... Tu m’as même précisé que seule, à la maison, tu n’en mets pas... Et là...
    
    Ana, baisse la tête, écarlate, la gorge nouée.
    
    Je dois t’avouer quelque chose... Je... Je sais pas comment te dire...
    
    Gênée, je lui pris la tête, à nouveau, dans mes mains, lui relevant, pour la regarder, une larme glisse sur sa joue.
    
    Parles, Ana... Je veux tout savoir...
    
    Je... Je suis harcelée par une des employées de l’agence...
    
    Dis-moi tout... Ce ne serait pas Fauve, par hasard ??? 
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