Renaissances - Histoires de Sexe

Renaissances

... ses yeux. J’oublie où on est, je ne pense qu’à elle. Marie-France revient, toujours avec son soutif, s’installe dans un fauteuil et commence à se caresser. Avec Fafa, on la regarde.

— Ne vous occupez pas de moi, les enfants, vous êtes très beaux.
— D’accord.

C’est chouette, je me sens très bien, très en contrôle, valorisé par ce fait d’en avoir deux pour moi tout seul. J’intensifie mes mouvements, et quand elle me dit « viens, maintenant », je galère un peu, mais y parviens après elle. On a des spasmes ensemble, on se sourit, on rigole. Mais Marie-France pleure. Voir ces si beaux yeux remplis de larmes nous brise le cœur à tous les deux.

Je me lève, la charge dans mes bras comme une enfant. On s’assoit dans le canapé. Fabienne vient nous rejoindre, et on lui fait un énorme câlin. On lèche ses larmes chacun notre tour comme des petits chiots. Elle se calme, on commence à se battre pour lécher ses larmes, ça la fait rire.

— Ah, mon dieu, vous êtes adorables.
— (Fabienne) Ça faisait longtemps pour toi, hein, des mois ?
— Des années. Des années que Robert ne me touche plus. Et depuis l’an dernier, c’est pire, il m’a trompée avec une de ses employées, même pas belle, en plus.
— … Et tu l’aimes encore.
— Lui aussi, c’est pour ça que c’est si dur.
— (moi) Mais qu’est-ce qui vous est arrivé ?
— (Fabienne) T’as rien compris, putain, t’es relou. Marie-France a eu un cancer du sein. Et elle a sûrement subi une ablation mammaire.
— Voilà. Ça a complètement bousillé ...

... mon couple.
— (moi) Montre-moi. Montre-nous.
— (Fabienne) Mais t’es con ou quoi ?
— (Marie-France) Non, non, il a raison, il est temps.

Elle se lève, se tourne, enlève son affreux soutif, puis nous fait face, bras pendants, l’air pas fière. À la place du sein gauche, il y a une méchante cicatrice qui court de son aisselle jusqu’à ce qui fut son téton. L’autre est magnifique, un magnifique bonnet B en poire qui tombe un peu façon gant de toilette, avec un superbe téton bombé.

— Oooh, ma chérie, fait Fabienne, super touchée, remplie de compassion.
— (moi) Marie-France, t’es belle à tomber par terre, vraiment !
— Tu dis ça pour me faire plaisir.
— Oh oui, oh oui, tu vas en prendre du plaisir. Viens avec moi, Fabienne.

Je me place derrière elle, Fabienne devant, on la caresse, la couvre de bisous, partout, je bande contre ses fesses. Marie-France se laisse faire, et embrasse Fabienne. Celle-ci me regarde, lui roule une belle pelle et rigole des yeux, car je me mords les lèvres de désir. D’autorité je prends la mâchoire de Marie-France pour violer sa bouche avec ma langue, puis j’embrasse. Fabienne, qui l’embrasse à nouveau, commence à la branler. Je m’attaque à son anus par-derrière, des fois je rejoins les doigts de ma chérie. Notre amante commence à rouler des hanches en silence, elle est très belle les yeux fermés. Directement je l’encule à fond avec deux doigts, je sens que Fabienne remplit sa chatte avec les siens. C’est excellent cette sensation de complicité ...