1. Une autre vie commence. (3)


    Datte: 15/03/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Faunus, Source: Xstory

    Apprendre qu’il avait tapé dans l’œil de la jeune femme flattait son orgueil masculin. Par contre, savoir que le personnel était informé de ses déboires cela l’enchantait beaucoup moins. Puis, il se souvint du caractère particulier de son ancienne secrétaire ce qui l’incitait à penser que les risques de fuites étaient limités aux bureaux des dirigeants. Ce qui réduisait de façon drastique le nombre de personnes informées. Depuis quelques secondes il regardait Josiane en se disant qu’en plus d’être belle et discrète, elle était fine mouche. Ce faisant, le sourire avait disparu de son visage, il avait retrouvé le sérieux qui était habituellement le sien.
    
    - Que se passe-t-il, Charles ? Ai-je dit quelque chose qui t’a froissé ?
    
    Il se passa quelques secondes avant qu’il ne sorte de sa réflexion. Ce ne fut qu’en voyant le regard inquiet de la jeune femme qu’il réagit en éclatant de rire.
    
    - Ha ha ha ! Bien sûr que non ! Tu n’es pas en cause, oui d’une certaine manière.
    
    - Ah bien, puis-je savoir ce qui te turlupine ? Il ne faut pas te tracasser, je n’aime pas les ragots et je n’en colporte pas.
    
    - Oui ma belle, je suis certain de ça. Par contre, je ressens une certaine gêne.
    
    Josiane le regardait en écarquillant les yeux ne sachant pas où il voulait en venir. Le tenant par le cou elle le regardait avec attention, puis en riant elle se leva brusquement.
    
    - Ha ha ha ! Oui ! Moi aussi je n’aime pas ce contact du tissu humide et pégueux. Viens, allons nous laver.
    
    - ...
    ... Oui, c’est vrai, je n’aime pas du tout cette sensation. Là, tu es fautive.
    
    Elle lui avait pris la main pour l’entraîner vers la salle de bain. En riant, Charles se laissait conduire, en la suivant il découvrit au passage les quelques pièces composant l’appartement. Il avait compté cinq pièces bien agencées et de dimensions confortables. Josiane ne lui libéra la main qu’après l’avoir fait entrer dans la salle d’eau.
    
    Un éclairage suffisant et un grand miroir permirent à Charles de découvrir le corps de la jeune femme. Une fois dans la pièce, sans attendre Josiane entreprit de lui déboutonner la chemise. Il voulut en faire de même avec l’agrafe du soutien-gorge, en riant elle lui mit une tape sur la main.
    
    - Non ! Attends ! Nous ne sommes pas à égalité.
    
    - Bon, bon d’accord, c’est toi le chef.
    
    Pendant qu’elle lui retirait sa chemise, il en profita pour caresser les seins de la jeune femme qui en riant essayait d’éviter les doigts fouineurs. Elle voulait être à égalité, il attendit donc qu’elle lui retire son pantalon, ses chaussures et ses chaussettes.
    
    - Ah oui ! Je vois, monsieur s’est un peu sali. Si j’en crois l’auréole, le contact n’est pas agréable.
    
    - C’est toi la fautive et je dois dire que tu n’es pas en position de me critiquer. Bien, j’ai suffisamment patienté, je vais libérer ce que tu caches derrière de la dentelle. Ils seront mieux en liberté.
    
    Joignant le geste à la parole il défit le soutien-gorge pour aussitôt caresser les seins aux tétines ...
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