1. Elisabeth s'éveille (1)


    Datte: 14/03/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Eniluap, Source: Xstory

    ... bond.
    
    — Tu m’as fait peur, bredouillai-je.
    
    — Tu es ivre ? demanda-t-il, ses sourcils noirs froncés.
    
    Il croisa les bras sur sa poitrine et je me surpris à regarder avec attention les muscles de ses avants-bras ressortir. Il semblait agacé.
    
    — C’est la deuxième fois en deux jours, ajouta-t-il.
    
    — Désolée, ris je en mettant ma main devant ma bouche. C’est que j’ai retrouvé Alice et...
    
    — Tu devrais aller te toucher et boire beaucoup d’eau. Tu as de la chance que ta mère ne te voit pas comme ça.
    
    — Ça va, j’ai le droit de profiter de ma jeunesse, dis je en attrapant la bouteille d’eau.
    
    Je l’ouvris et commençai à boire directement au goulot. D’un geste trop vif sans doute car je sentis couler le liquide le long de ma gorge. Les yeux toujours ouverts, je fixais mon père avec attention et insolence. C’est ainsi que je vis ses yeux noisette suivre la trajectoire des gouttes d’eau le long de mon cou pour s’insinuer et disparaître entre mes seins fièrement dressés et mis en valeur par mon décolleté. Un frisson me parcourut et je me retins de sourire.
    
    — Au lit, ordonna-t-il en semblant se reprendre. Et enlève tes talons, tu vas réveiller ta mère et Emma.
    
    Chancelante, je fis quelques pas vers lui. Debout sur mes escarpins à talons de 10 centimètres, j’étais très loin d’être à sa taille, ne faisant qu’1,65m à plat. Ce n’était pas une paire de chaussures qui allait me permettre d’être à sa hauteur.
    
    Je pris appui sur son épaule pour enlever, une à une, mes ...
    ... chaussures, en le fixant effrontément. Sa bouche s’était entrouverte et je vis ses yeux détailler les miens, mon nez, mes lèvres roses et pleines.
    
    — Voilà ! dis je fièrement. Ce n’était pas la peine de râler.
    
    — Tu ne me dis pas bonne nuit ?
    
    — Bonne nuit papa, chuchotai je en collant mon visage contre son torse.
    
    Je sentais son cœur battre plus vite qu’il n’aurait dû. Ses mains entourèrent ma taille et notre étreinte dura plus longtemps qu’elle n’aurait dû. Quand il me lâcha, je lui fis un signe de la main et rejoignis ma chambre.
    
    Ôtant robe, soutien-gorge et culotte dans la petite salle de bain attenante, j’entrepris de me démaquiller, de me brosser les dents et de démêler mes cheveux. Noirs, lisses et longs jusqu’aux omoplates, je les adorais. Après une rapide douche, je me glissai dans mon lit. Les effets de l’alcool semblaient s’atténuer. Cependant, ce n’était pas le cas de ma curiosité quant à ce qui s’était passé dans la cuisine. Étrangement, j’aurais aimé prolonger notre câlin et j’avais envie de l’avoir au lit, avec moi. Je voulais sa tendresse, sa gentillesse et ses caresses. Voilà qui aurait été réconfortant en cette fin de nuit mouvementée. Mais, je me rendis compte que je me mentais à moi-même et, quand je ressentis de petites crampes significatives entre mes jambes, je compris. J’étais excitée. J’avais envie de jouir.
    
    J’écartai les jambes, léchai mes doigts et entrepris de faire des petits cercles sur mon clitoris. Je mouillais déjà abondamment - à ...