Du porno pour ma mère. (2)
Datte: 12/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: solstice, Source: Xstory
... Paolo finit par l’enlever délicatement. Les gros seins tombèrent, magnifiques. Ils ballottèrent du fait de leurs tailles gigantesques. Paolo resta un moment à se délecter de l’immense poitrine. De grandes aréoles avec des tétons longs. Ma mère fit une petite grimace lorsque Paolo approcha ses mains de la poitrine offerte. Au contact des doigts sur la poitrine, je sentis ma mère jouir intérieurement. Elle frissonna et je vis aussitôt ses tétons se durcir. Paolo commença à malaxer les deux obus de chair. Il y allait doucement, tendrement. Il respectait l’opulente poitrine maternelle. Il commença à les embrasser puis à lécher les tétons. Je sentis alors quelqu’un m’attraper le bras.
C’était Angèle, qui, avec un sourire pervers, m’entraîna hors du bureau.
— Le patron veut tester la marchandise.
Elle m’entraîna dans la même salle que la dernière fois et me plaqua contre le mur en me mordant le menton.
— j’ai jamais vu un pervers comme toi. Tu as offert ta propre mère à Paolo. Mais tu vas voir qu’elle va être contente, la bougresse.
— Je te voulais pour le week-end, je veux qu’elle signe.
— Tu es prêt à tout pour m’avoir, j’aime ça.
L’Africaine semblait excitée par tout ça et déboutonna mon pantalon puis introduit sa main pour me malaxer la bite. De son côté, Paolo finit par déshabiller Isabelle. Elle se laissait faire, s’abandonnant totalement à son amant. Il jeta la robe puis se concentra sur le string qu’il enleva à son tour. Ma mère se retrouva nue, ...
... hormis ses sandales talon aiguille. Il la souleva et l’allongea sur le bureau. Il lui écarta les cuisses et fixa la chatte merveilleusement soignée. Isabelle redressa la tête pour voir le visage de Paolo s’approcher de sa toison pour la lécher. Là, j’entendis ma mère gémir de bonheur. Angèle me branla puis commença à me sucer. J’étais aux anges. Je me faisais pomper la bite pendant que ma mère se faisait bourrer dans le bureau d’à côté. Les gémissements devenaient des cris de plaisir. La langue de Paolo faisait des merveilles. La mouille arriva presque aussitôt. Paolo sortit sa bite, énorme et veineuse, et l’introduit dans la chatte de sa partenaire.
Il se mit à la limer, lentement au début puis de plus en plus rapidement. Les cris firent sortir des employés, dont deux belles actrices.
— Eh ben, il y en a une qui a de la chance. Remarqua l’une d’entre elles.
Pour ma part, j’étais en train de prendre Angèle, mais trop excité, je ne pus m’empêcher de jouir en elle, trop tôt. Je n’étais pas très content et Angèle frustrée. Surtout qu’à côté, ça continuait. Paolo était en train de prendre ma mère en levrette sur le bureau. Les énormes seins plaqués, écrasés sur le bois faisaient office d’airbag. Il lui claqua les fesses et se retira au bout de cinq minutes de limage. Puis, il la retourna et la prit en missionnaire. Je jalousais le fait qu’il puisse se retenir de jouir. Il voulait offrir le plus de plaisir à ma mère. Au bout de vingt minutes, il décida de conclure. La bite ...