1. Alicia et son papa (28)


    Datte: 12/03/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... vagin aux lèvres nacrées trempées de désir, je désirais ardemment être prise avec vigueur au centre de ma féminité. Mais non, papa me sodomisa sans prendre la peine de se déshabiller, à la hussarde. Je hurlai de douleur quand son épieu turgescent perfora mes reins en puissance, étirant mes muqueuses sans égard. De grosses larmes jaillirent de mes yeux et roulèrent sur mes joues, alors que mon pourfendeur s’immobilisait, les mains crochées sur mes hanches et les couilles battant contre ma vulve.
    
    — Voilà comment j’aime te prendre, Ali. Fort et profond. Ça te convient ?
    
    — Bien sûr. Vous avez démoli mon petit cul, Monsieur. Mais la douleur est passée, ou presque.
    
    — Dans ce cas, je peux y aller franco, d’accord ?
    
    — Oui Monsieur, ne vous retenez pas pour moi... Oh, mon Dieu ! C’est trop... Oh !
    
    En un instant, papa était passé de l’immobilité la plus totale à une chevauchée bestiale. Son pelvis claquait avec un bruit sec contre mes fesses à un rythme effréné, il sortait presque complètement à chaque fois pour revenir avec une vigueur accrue, ne me faisant grâce d’aucun centimètre de son impressionnante queue. Tremblante, bouche bée et yeux exorbités dans le vide, je haletais et gémissais en continu, mais je restais bien cambrée pour montrer à mon père que j’acceptais sans réserve d’être son objet sexuel.
    
    — Petite salope, tu aimes te faire défoncer par ton père. Mais rappelle-toi, tu n’as pas le droit de jouir.
    
    — Pitié, papa ! Monsieur, vous ne pouvez pas ...
    ... savoir ce que j’en ai envie.
    
    — Retiens-toi, alors. Je vais laisser la place à Raul, maintenant que tu es bien dilatée. Tu vas me sucer et avaler mon foutre.
    
    Ça, je pouvais faire, et même y trouver du plaisir. Par contre, je lorgnai avec inquiétude la formidable matraque de chair de Raul qui s’approchait. Il allait me déchirer, cette fois, tant son engin semblait démesuré par rapport à son futur écrin. Mais je n’eus pas le temps de lui demander de la prudence ; déjà il forait mon anus béant et lui imposait de se dilater pour accueillir son calibre dément. Je ne pus que pousser un râle vaincu lorsqu’il s’enfonça d’un violent coup de reins. Je partis en avant et reçus jusqu’à la glotte le sceptre raide de papa.
    
    Pour oublier la souffrance qui traversait mes lombes, je pompai avec vigueur et léchai la bite paternelle, ravie de cet exutoire délicieux. Derrière moi, Raul tenait parole : il pilonnait mes reins avec force et détermination. Ses grandes mains encerclaient ma taille fine et me tiraient vers lui en même temps qu’il propulsait son mandrin en moi. Si brutalement que mes pauvres fesses porteraient de nouveaux bleus témoignant de sa vigueur. Le jeune homme ne cherchait pas à être endurant, il voulait seulement démolir mon anus et me marquer durablement. Heureusement, il ne put tenir à ce rythme ; il se vida en poussant des jurons, quasiment au moment où papa emplissait ma bouche de semence tiède.
    
    — Je n’ai pas pu tenir, putain ! J’étais tellement serré, bien au chaud, ...