1. De la vierge à la salope (suite) (3)


    Datte: 11/03/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tarbenero, Source: Xstory

    Après le réveillon mouvementé, Norbert n’a qu’une idée. Cocufier Albert.
    
    Un soir, il me dit :
    
    — Tu vas inviter Albert et Marie-France dimanche.
    
    J’essaye de savoir ce que mon époux a en tête, mais il reste à bouche cousue.
    
    Le dimanche arrive. Norbert a choisi ma tenue. Kilt court, chemisier transparent, qui ne ferme que par 2 boutons. Bas, escarpins, et bien sûr pas de dessous comme d’habitude.
    
    On sonne. Je vais ouvrir.
    
    Albert me regarde, étonné de ma tenue, Marie-France encore plus, bien qu’elle-même soit vêtue de façon sexy. Mini-jupe, tee-shirt très décolleté.
    
    Nous passons au salon.
    
    Norbert a préparé un punch très corsé. Discussion, un deuxième verre, Marie-France se laisse un peu aller. Elle rit à toutes les blagues de Norbert. Celui-ci se penche à son oreille pour lui dire je ne sais quoi, nouvel éclat de rire.
    
    Albert regarde, étonné, il ne dit rien, mais il m’interroge du regard.
    
    Je me laisse aller en arrière, contre le dos du fauteuil, j’écarte les cuisses en lui souriant. Il a une vue imprenable sur mon con qui bâille, humide de cyprine.
    
    Nous passons à table.
    
    Je m’installe à côté d’Albert, Norbert près de Marie-France.
    
    Le repas se déroule de la même manière, Norbert remplit le verre de Marie-France, il est sans cesse penché vers elle, lui murmurant à l’oreille des trucs osés je pense, car Marie-France rougit en jetant un œil vers Albert.
    
    Norbert passe son bras autour du cou de Marie-France, sa main descend vers son décolleté, ...
    ... il s’introduit sous le tee-shirt, sa main atteint le sein, Marie-France sursaute, mais elle ne dit rien. Je sens Albert se raidir, alors ma main disparaît également sous la table, je m’empare de sa bite et lui murmure à l’oreille.
    
    — Chut chéri, laisse faire.
    
    Norbert caresse le sein de Marie-France, elle a fermé les yeux, mais ne dit rien. Norbert lui murmure quelque chose à l’oreille, elle refuse, Norbert insiste.
    
    Alors, elle se trémousse, ses mains ont disparu sous la table, elles réapparaissent. Marie-France a sa culotte à la main, Norbert s’en empare, il la sent.
    
    — Tu sens bon.
    
    Sa main disparaît sous la table, Marie-France sursaute.
    
    — Tu as bon goût.
    
    Albert n’en croit pas ses yeux. Voir Marie-France s’abandonner de la sorte, il n’y croit pas. Cependant que peut-il dire, après ce que nous faisons ?
    
    Norbert se lève :
    
    — Tu viens chérie, nous allons préparer le dessert.
    
    Direction la cuisine. Nous préparons ce qui sera le clou de la journée, le dessert.
    
    Retour dans la salle à manger.
    
    Sous les yeux ébahis de nos invités, le dessert apparaît.
    
    Imaginez :
    
    Une table roulante, assez grande pour que je puisse allonger dessus mon mètre 55.
    
    J’y suis, entièrement nue. Norbert a recouvert mes tétons et ma chatte de crème chantilly.
    
    — Le dessert vous plaît ? À toi l’honneur Albert.
    
    Celui-ci ne se fait pas prier, il vient vers moi. Sa bouche se pose sur ma poitrine, il suce mes tétons, dévorant la chantilly. Je suis très sensible des seins, ...
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