1. Série l’adultère « Élodie » (Partie 30) : La salope, a-t-elle eut ce qu’elle voulait ? Partie 3/3


    Datte: 11/03/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... réponse, il s’était dirigé vers les toilettes, tout alla très vite dans ma tête, je n’étais plus très lucide mais je ne tenais pas à ce qu’Anthony sache que je l’avais trompé. Cependant ce soir-là, ce fut les jambes tremblantes que je l’avais rejoint dans les toilettes handicapées. En sécurité, il avait relevé ma jupe et s’était agenouillé en baissant en même temps mon collant et mon string. Face à mon intimité, sa langue s’était mise en action, il savait ce que j’aimais, son cunnilingus était si bon que ma chatte était trempée. Tous les muscles de mon corps se contractaient et se tendaient violemment, mon ventre était en feu. J’haletais et sa main qui me triturait la pointe de mes seins me faisait dresser mes mamelons de plaisir.
    
    Je m’agrippais à sa tête, je lui tirais les cheveux, je voulais qu’il continue. À ce moment-là, je ne pensais plus à rien, sa langue, ses doigts me faisaient tout oublier, le désir montait dans mon ventre, je le sentais venir, je me contractai une nouvelle fois lorsque j’atteints l’orgasme : « Que ta chatte est belle quand tu jouis. Attends je n’ai pas fini. » Me dit-il en sortant un préservatif de sa poche. Il défit son pantalon et baissa son slip, dévoilant sa longue queue toute gonflée de sang puis enfila la capote. Il me demanda de me retourner, docile j’avais très envie qu’il me baise enfin, plaquée contre le mur carrelé des toilettes.
    
    Guillaume se colla contre moi, son gland disparu entre mes cuisses avant de glisser le long de ma fente ...
    ... mouillée puis de pénétrer ma chatte qui attendait de le recevoir. Il agrippa mes hanches et me labourait avec force et puissance, tout ce que j’aimais particulièrement. C’était tellement violent que je ne pus éviter de crier. Il plaqua sa main sur ma bouche pour étouffer mes gémissements de plaisir. Il me limait si fort que j’avais l’impression qu’il me clouait au mur à chaque coup de rein. Il allait de plus en plus vite, telle une bête sauvage. De nouveau mon plaisir montait de l’intérieur, je ne pouvais plus contenir mon corps.
    
    Je contractai tous les muscles vaginaux autour de son phallus et j’explosai ma jouissance pour la seconde fois en quelques minutes. Lui non plus ne pouvait plus résister, après avoir encore donné quelques coups de reins, il se crispa en râlant et en me serrant très fort avant de se retirer. Il retira son préservatif rempli de sperme et le jeta dans la cuvette. Nous nous étions rhabillés pour sortir de la cabine lorsque je m’étais retrouvée nez à nez avec Anthony. Jaloux et très possessif, il n’avait pas accepté l’adultère, mais ne fit pas d’esclandre. Tellement surprise et désespérée, je n’avais pu dire un mot, comme lui d’ailleurs. Il quitta la fête sur le champ fâché et déçu, mais cela n’était pas passé inaperçu.
    
    Le voyant se diriger vers le parking, j’avais couru vers lui et l’avait immédiatement suivi, malgré mes explications et mes pleurs, je ne pouvais nier l’évidence, il monta dans sa voiture et disparut. Si Anthony n’avait pas fait de ...
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