Elena à genoux (3)
Datte: 09/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory
... Paul qui surmontait le sillon entre ses seins, effleurant les globes qui se soulevaient toujours plus à mesure que la respiration de la jeune femme s’amplifiait.
— Heuuu comment ça, je ne pense pas ça ? demanda Elena dans un petit rire nerveux, en logeant d’un geste machinal une mèche de cheveux derrière son oreille. C’est à ce moment qu’elle nota un détail qui lui avait jusqu’alors échappé. Elle mise à part, il n’y avait que des hommes dans la pièce. Toutes les conversations avaient désormais cessé et tous les regards étaient braqués sur elle.
— Tu ne penses pas ça, non. Ce que tu penses c’est que les filles qui s’habillent sexy cherchent à attiser le désir des hommes et que ce sont, soit des putes si elles se font payer, soit des salopes si elles refusent ce que leurs tenues promettent. Oh putain Daniel, je suis d’humeur philosophe ce matin. Les nichons à l’air ça m’inspire ! Et il leva bien haut la paume de la main que vint bruyamment claquer son camarade.
— Répète ce que je viens de dire, putain !
— Heu... mais quoi ?
— On va faire simple pour toi. Tu penses que les filles qui s’habillent sexy sont des putes et que leur destin est de sucer des bites et de se faire enculer.
A ce dernier mot, Daniel serra une ...
... fesse d’Elena.
— Heuuu.
— Bordel Elena, je te savais idiote, mais pas à ce point, c’est pas compliqué, tu répètes ce que je viens de dire.
La jeune femme regarda autour d’elle les hommes qui formaient désormais un cercle. Elle s’éclaircit la gorge et déclara « je pense que les filles qui s’habillent sexy sont des putes dont le destin est de sucer des bites et de se faire enculer ».
Des rires fusèrent dans l’assistance.
— C’est bien. C’est une bonne chose que tu penses ça. Verrais-tu un inconvénient à ce que ces messieurs ici présents te touchent ?
Elena ne savait sincèrement pas quoi répondre et cherchait dans l’expression de Tom des indices pour savoir ce qu’il attendait d’elle. Ce dernier comprit les débats internes d’Elena et hocha la tête avec bienveillance. Elle abdiqua.
— Heu, je ferai ce que tu voudras.
— C’est important que tu le dises. Descends de ton tabouret, tourne-toi vers eux et dis-leur qu’ils peuvent te toucher s’ils en ont envie, comme ils en ont envie, car tu es une pute.
Elena glissa de son siège, rabaissa sa jupe sur ses cuisses d’un geste automatique et déclara : « vous pouvez me toucher si vous en avez envie, me toucher comme vous voulez, car...
— Oui ?
—... Car je suis une pute.