1. L'aveu et la révélation de ma sœur Carmilla. (1)


    Datte: 09/03/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: SIQUOIR, Source: Xstory

    ... puis j’y rentre ma langue, que je pousse au plus profond, je lèche, j’aspire encore, Carmilla a toujours ses mains sur ma tête, dans mes cheveux, elle continue de caresser mon crâne. Puis je descends encore plus bas, toujours en continuant de la lécher au passage, elle apprécie beaucoup et elle me le fait savoir en gémissant de plus belle.
    
    Une fois arrivée au mont-De-Vénus, elle me dit : arrête Kim, on va changer de position, moi aussi je veux te manger, je ne veux pas rester inactive, mettons-nous en position 69.
    
    Ce qui fut dit fut fait, et c’est ainsi que je me suis retrouvé avec la tête entre ses cuisses, de son côté, elle avait mon trois-pièces à la hauteur de son visage et à sa disposition. Puis nous avons commencé à nous manger mutuellement. Je lui léchais de ses grandes lèvres à son anus, m’arrêtant à son petit bourgeon d’amour, qui durcissait sous mes léchouilles et sous mes aspirations.
    
    Carmilla avait un goût particulier que j’aimais beaucoup, j’allais de plus en plus profond entre ses lèvres vaginales, les écartant au maximum pour aller encore plus profondément dans sa chatte, afin de recueillir un maximum de sa liqueur d’amour. Tandis que je lui faisais cela, Carmilla me suçait ma tige, l’aspirant, le recrachant, l’enserrant avec sa langue, puis elle le ressortait, elle le léchait de temps à autre, allant quelquefois prendre mes bourses en bouche.
    
    Au bout d’un moment, n’y tenant plus, je lui dis : attention chérie, ça monte, ça va sortir, elle me ...
    ... répondit : Laisse venir frangin, je suis prête, je vais enfin pouvoir goûter à ton sperme !
    
    C’était incroyablement bon ce qu’elle me faisait, et je crois qu’il en était de même pour ce que moi je lui faisais également, car de temps en temps, je sentais comme elle s’arrêtait, puis je la sentais frissonner, et ensuite, je recevais une belle rasade de sa liqueur d’amour, que j’adorais d’ailleurs.
    
    Une fois que nous en avions assez de nous manger et de nous boire, nous nous sommes remis en position, poitrine contre torse. Elle avait gardé en bouche une partie de mon jus, et j’en avais fait de même avec sa liqueur, puis nous l’avons partagé ensemble dans sa bouche, chacun avalant une partie du mélange de nos jus d’amour, après cela, elle me dit : tu as senti comme nos sécrétions se marient bien ensemble, en plus, j’adore ton sperme, il est très bon. Je lui confirme alors qu’elle avait raison et je lui dis : maintenant que nous avons goûté à nos liqueurs, je voudrais aussi savoir si c’est pareil pour nous emboîter, et si tu acceptes mon calibre.
    
    Carmilla me répondit : ah ça, je ne peux pas le dire comme ça, il faut essayer et on verra à ce moment-là !
    
    Sur ce, je me mis à genoux, entre ses cuisses, puis je pris ma bite dans une main et je la fis coulisser entre ses lèvres vaginales, puis je commençais à m’introduire en elle, tout doucement, centimètre après centimètre, mais comme Carmilla devenait impatiente, elle releva son bassin d’un coup pour me recevoir entièrement en elle ...
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