1. Une mère pas comme les autres... (31)


    Datte: 08/03/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: AlexisPC, Source: Xstory

    ... comment » ! Il ne me restait qu’à mettre en branle, si j’ose m’exprimer ainsi, tout ce beau monde. Et si Aurore ne répondait finalement pas à mes attentes, j’aurais passé une agréable soirée.
    
    J’étais donc gagnant quoi qu’il se passe.
    
    Je pris un long bain, je me rasais de frais et passais mon plus beau costume Armani. Anaïs avait toujours craqué lorsque je le portais. Et Maman en raffolait aussi. L’avis de Manon ne m’intéressait plus. Je me rendis compte qu’en fait, cette fille avait de l’allure, du charisme, de la répartie et était superbement belle. Mais qu’elle ne correspondait pas à ce que j’attendais d’une femme. Elle ne serait de la partie que dans le but d’exercer un peu ma vengeance sur elle aussi, car elle avait été partie prenante dans tout ce qui m’avait été caché. Et je comptais bien en profiter, même si son attitude, dernièrement, me laissait inconsciemment craindre un attachement plus prononcé que ce que je voulais bien admettre.
    
    Mais j’aviserai alors en temps utiles.
    
    À l’heure convenue, j’attendais à nouveau les filles dans le grand hall de l’hôtel.
    
    Maman arriva la première. Elle avait suivi mes ordres et me montra en catimini qu’elle portait bien les dessous que je lui avais offert. Elle avait revêtu une robe de soirée parfaitement sobre, à ma grande curiosité, qui ne correspondait pas vraiment à l’endroit dans lequel nous nous rendions.
    
    - Je connais ces endroits, Philippe ! Et je connais particulièrement celui où tu nous emmènes. Je n’ai ...
    ... besoin de porter quelque chose d’extravagant puisque je vais le retirer en entrant.
    
    - Tu n’as pas tort ! Dis-je à cette réponse à ma question concernant son style vestimentaire. Et j’oublie parfois un peu trop rapidement que tu es une experte en la matière.
    
    Je profitais de cet instant en tête-à-tête pour l’embrasser avec passion, à l’abri des regards indiscrets, derrière la colonnade du hall.
    
    Maman, surprise par mon attaque, répondit langoureusement à mon désir. Sa langue se fraya un chemin vers la mienne et elles entamèrent un lent mais délicieux ballets entre nos bouches.
    
    Ce moment dura de longues secondes durant lesquelles, nos yeux ouverts, nous pouvions deviner le désir et l’amour infini que nous nous portions l’un à l’autre.
    
    Je bandais comme un cerf et je savais que la chatte de Maman coulait doucement.
    
    En me reculant un peu, rompant ainsi notre étreinte, je déclarais avec honnêteté
    
    — Merci pour tout, Maman ! C’est grâce à toi que tout à commencé et c’est grâce à toi que j’ai découvert qui je suis vraiment. C’est toi, la femme de ma vie.
    
    — De rien, mon chéri ! Je n’ai fait que suivre les conseils et les désirs de ton père. Mais je dois admettre que tu es un élève particulier et bougrement doué. Je suis fier d’être ta mère.
    
    Elle m’enlaça tendrement, comme une mère le ferait avec son fils.
    
    Puis elle rit en disant
    
    — Et tu embrasses comme un dieu ! Je ne pourrai plus m’en passer. Tu provoques une inondation de ma chatte à chaque fois, vilain ...
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