-
Les esclaves de l'empire
Datte: 08/03/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Reminovitch, Source: Hds
... Mécontent il redoubla de brutalité, se vengeant sur elle de sa frustration. « Bon le devant est fait, voyons ce derrière non effleuré par ton mari. » Ce faisant il lui faisait signe de se mettre à quatre pattes. Tremblant de peur la dame se tourna. Qu’allait-elle subir ? Pour sûr, cette expérience ne serait pas agréable. Faite avec son mari ou un homme attentionnée elle eut pu y trouver le sel du phantasme et de la transgression. Mais là ? L’organe pénétra. Le trou, neuf, refusait de s’ouvrir, qu’importe, le bélier sonnait à la porte forçant petit à petit l’entrebâillement. Les chairs se déchiraient sous la pressions qu’importe, centimètre par centimètre son vainqueur progressait. Puis il atteignit le fond. Il la tenait par la taille la forçant à épouser son mouvement. Puis la bête cracha. Comblé l’homme s’allongea quelques minutes dans le lit. Il savait récupérer vite et alors que la femme commençait à profiter de sa pause il l’attrapa par le coude et la ramena dans la salle à manger où les filles avaient mis la table et se tenaient prêtes à servir. Il mit un coup de sa grosse pogne sur l’épaule de l’époux. « Ta femme manque un peu de tempérament, mais je pense qu’il y a du potentiel, tu verras après quelques jours elle sera un peu assouplie. » Le maire et son épouse devinrent pivoine. La pauvre femme nue devant son mari et ses enfants tentait tant bien que mal de masquer ses attributs féminins. Le maître se riait de son comportement. La scène était ...
... réellement cocasse avec le mari en costume, l’épouse nue et les filles en petite tenue. Le diner fut heureusement rapidement servi même si seul le soudard fit honneur au plats. « Faut manger les filles sinon vous n’aurez plus d’énergie pour me servir. » Péniblement bouchée après bouchée elles avalèrent leur repas. L’ordre ayant été donnée aucune n’avait envie de subir le calvaire que leur mère venait de subir. Puis vint le café, en sirotant sa tasse de café il s’adressa à l’ainé des filles. « Il reste le dé du soir. Ta mère ayant déjà gagnée c’est toi la moins avancée et la plus âgée dit-il en lui montrant l’instrument du destin. » Encore une fois le maudit objet roula sur la table. Trois, quatre, cinq, il roulait toujours puis… deux. Annie laissa échapper son soulagement. « Normalement ton comportement te vaudrait de relancer, mais si à chaque fois que votre attitude ne correspond pas je vous fais relancer, votre père n’aura pas le temps de tirer un coup de crayon. Apprenez à vous contrôler car bientôt je ne serais plus si patient. » Les filles s’empressèrent de suivre le conseil. La tasse de café vidée le maître regarda le maitre et annonça. « Je crois qu’il est temps que nous allions nous coucher. » Le maire se leva. « Je vais vous raccompagner à votre hôtel. » Le second homme éclata de rire. « Tu ne comprends rien petit père. Toi tu retournes à ton bureau pour travailler. Moi je reste ici. Ta femme a besoin d’être un peu travaillée au ...