Halloween – (quatrième partie et fin)
Datte: 07/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Love2share, Source: Hds
... sur elle comme un chacal le ferait sur sa proie, ce que je fis sans tarder.
Le dos de sa main reposait tendrement sur son front et sa tête, penchée sur le côté, semblait m’indiquer qu’elle avait eu sa dose et qu’elle apprécierait ma clémence. Elle pouvait se brosser. Je vins m’allonger sur son corps enduit de semence de mâles. Chaque contact avec sa peau souillait à son tour mon propre corps. Je pénétrai doucement son entrejambe délicieusement accueillant et me mis à enchaîner les va-et-vient sans rencontrer de résistance. Elle restait muette cette fois. Était-ce la fatigue ou le fait qu’elle ne me sentait plus ? L’onctuosité de son antre infidèle m’excitait au plus haut point et je me lâchai amoureusement aux confins de sa vulve gluante et distendue. J’espérais qu’elle ne s’en rendrait pas compte, car je désirais maintenant honorer son fondement anal.
Sans sourciller, elle se tourna d’elle-même sur le côté et écarta les fesses pour m’inviter à m’y défouler. Je ne me fis pas prier et entama une douce série de coups de reins. Après quelques minutes, je compris que je pouvais y aller franchement et je me mis à la pilonner aussi vite et aussi fort que je pus.
« T’as été une vraie pute ce soir, hein, ma chérie ? »
« Oui, j’en aurais pris encore. Je les aurais laissés me baiser jusqu’au matin, même inconsciente. J’ai aimé qu’ils me prennent les uns après les autres, qu’ils me traitent comme un vulgaire sac à foutre… C’était tellement bon… », répondit-elle, ...
... haletante.
« Et toi, tu as aimé, mon chéri ? », demanda-t-elle pendant que je continuais de lui ramoner le derrière.
« J’ai adoré te voir à l’œuvre, ma salope, mais ce que je préfère jusqu’à maintenant, c’est de te prendre ouverte et remplie de foutre », concédés-je.
« Ça tombe bien, répondit-elle, car tu passeras toujours en dernier. Seuls ta langue et ton cul seront autorisés à participer… »
Et comme si cette idée l’allumait singulièrement, elle commença à onduler du bassin violemment pour me sentir au plus profond d’elle et se mit à jouir d’une force inouïe. Elle continua de s’enfesser avec rage jusqu’à la fin de son orgasme qui dura plus de dix secondes. Je n’étais pas parvenu à jouir de ce coït et continuai donc le forage de son orifice désormais trop large pour mon sexe. Je plongeai donc quatre doigts dans son con dégoulinant de sperme pour les lubrifier et je les fis glisser dans son cul à côté de mon membre toujours calé en elle. Elle encaissa sans mot dire et je pris alors l’initiative d’insérer toute ma main jusqu’au poignet. Je me masturbais littéralement dans son cul et ma belle salope commença à geindre et m’encouragea à continuer.
« Vas-y ! Finis-toi, mon salaud. Jouis dans mon cul ! Tu n’es pas le premier ce soir… Tu le sens à quel point je me suis fait enculer ? Même les putes sont moins ouvertes ! »
À ces mots, je subis à mon tour l’effet d’un orgasme dévastateur et m’écroulai à ses côtés, la bite et la main toujours fichées dans son fessier. Nous nous ...