Le séminaire de Lisa - Histoires de Sexe

Le séminaire de Lisa

... posait pas de problèmes, ou tout du moins je ne m’étais pas posé la question.

Alors que Stéphane continuait à mes malaxer l’entrejambe, Mathieu commençait à dégrafer les pressions de ma robe qui tomba rapidement sur mes chevilles.

Me voilà, là, au milieu de la chambre, quasiment nu devant 2 hommes que je connaissais pas à midi, mais avec cette envie de connaitre autre chose, quelque chose que je n’avais jamais connu avant et même jamais imaginée.

Mathieu et Stéphane se déshabillent rapidement pour se retrouver nu devant moi, 2 hommes bien montés.

Mathieu baisa ma culotte, pendant que Stéphane dégrafait mon soutien-gorge, cette fois nous étions tous les 3 nus.

Mathieu me demanda de me mettre à quatre pattes sur le lit, il se mit derrière moi, et pénétra mon vagin d’un coup sec, pendant que Stéphane attendait face à moi que j’ouvre la bouche pour engloutir son énorme pine.

Mathieu faisait des vas et viens de plus en plus rapide ma faisant pousser des gémissements orgasmiques, tous en léchant le gland de Stéphane.

C’est alors qu’au bout de cinq minutes je sentis le sperme tous chaud de ...

... Mathieu envahir l’intérieur de de mon vagin et lui se retirer dans un râle de plaisir.

Tout de suite, Stéphane m’empoignant, m’allongea sur le lit, m’écarta les cuisses, et pris place entre mes deux membres encore tous tremblant des assauts de Mathieu, aussi virulent que son compère il me labourait énergiquement, tandis que Mathieu, assit sur le bord du lit, admirait le spectacle tout en reprenant son souffle.

Au bout d’une bonne dizaine de minutes, qui me paraissent à la fois interminable et exceptionnelle par l’intensité de l’acte, Stéphane retira son membre de ma chatte en pleine ébullition, l’approcha de mon tête et envoya un énorme jet qui recouvrit mon visage et une partie de mes cheveux.

Les 2 hommes de rhabillèrent, et quittèrent ma chambre sans dire un mot. J’avais un sentiment mitigé, à la fois de joie face à ce bon moment passé et à la fois de remords en pensant à Pierre mon mari. Mais je me rassurais en me disant que j’étais loin de chez moi et que je ne reverrais jamais ces deux hommes, qui eux aussi étaient sans doute marié et n’avaient pas envie que leur moitié n’apprennent leurs exploits.