La famille de ma meilleure amie (3) - Histoires de Sexe

La famille de ma meilleure amie (3)

Dimanche matin, j’étais de mauvaise humeur. Avec toutes leurs cochonneries d’hier soir, j’ai très peu dormi. J’essaie de me comporter correctement, mais c’est trop dur. J’ai expliqué que j’étais fatigué et suis retourné me coucher pour ne pas avoir à faire semblant trop longtemps. Je me suis réveillé vers 18h et je suis descendu dans le salon. Personne. Peut-être se reposaient-ils aussi ? J’ai allumé la télé et me suis installé sur le canapé. Une demi-heure était passée quand je me rendis à la cuisine me servir du jus d’orange et que j’entendis depuis l’escalier :

— Il est parti se coucher, c’est bon, chuchota Valérie.

Il était 23h34 précisément (je le sais, car j’ai vérifié sur l’horloge électronique) quand j’entendis qu’on descendait les marches. Je vis donc Léa et ses parents en tenue de chambre prendre place devant la télé.

— On a oublié d’éteindre, lança Rick.

Il l’éteignit et se tourna vers ses femmes. Elles firent tomber d’elles-mêmes leurs robes de chambre légères sur le sol. Elles étaient entièrement nues ! Mon œil fut d’abord attiré par Valérie. Une femme mature aux formes rondes : gros seins, gros cul, une silhouette sportive. Avec ses cheveux noirs coupés au carré, je la trouvais super-bonne ! Et Léa. Dans le jardin, je n’avais pas pu voir avec exactitude, mais... Waouh ! Une silhouette mince, un petit cul bien rebondi, des seins dans la moyenne, avec ses cheveux noirs lissés qui descendaient jusque dans son dos... Elle était très jolie.

Rick se ...

... débarrassa à son tour de sa robe de chambre. Ils étaient tous les trois nus à présent. Et Rick avait déjà son braquemart au garde à vous.

— On va s’éclater, sourit-il.

Les deux femmes s’approchèrent et commencèrent à l’embrasser, chacune son tour pour la bouche et celle qui n’avait pas la bouche embrassait un autre endroit, son torse, son cou...

Valérie s’accroupit devant lui et son énorme engin pour le prendre entre ses seins et entamer une branlette espagnole qui m’aurait presque fait saliver. Léa avait donc la bouche de son papa pour elle seule. Rick passa ses mains autour de sa taille. Leurs baisers étaient passionnés et sensuels. Léa s’écarta alors et s’assit sur le canapé pour contempler la scène.

— Ma chérie, tu vas me faire jouir, avertit Rick. Tu sais que je ne résiste pas à tes seins.

— On a tout notre temps ce soir. L’invité de notre fille est là-haut, bien assoupi. Tu vas pouvoir jouir autant que tu veux.

Elle accéléra donc la cadence, et en effet, Rick ne mit pas longtemps à jouir. Il gicla beaucoup. Valérie en reçut dans les cheveux, sur le visage et entre ses seins, il y avait presque une flaque qui s’écoulait jusqu’à son ventre.

— Oh oui, mon amour, savoura-t-elle.

Elle passa ses mains sur les zones aspergées pour ensuite lécher le sperme dessus. Rick la laissa à ses occupations (il y avait du boulot faut dire) pour se jeter sur sa fille qui ne fit que rire face à cet assaut. Il l’allongea sur le canapé et couvrit son corps de caresses. ...