Le soleil et les voisins - Histoires de Sexe

Le soleil et les voisins

... tenir, incertains aussi de la façon dont nous allions réagir à leur invitation pour la soirée et à leur démonstration de la veille, alors j’ai essayé de les mettre à l’aise.

— Michel et moi sommes habillés de cette façon pour une raison bien précise. Nous avons aimé avoir toutes ces nouvelles expériences avec vous deux et, si nous pouvons garder notre calme, ça va être encore une première, mais également un peu une réédition. En effet, nous portions ces vêtements la nuit où nous avons fait l’amour pour la première fois.
— Oh, je vois, a dit Geneviève. J’adore cette façon si romantique que vous avez souvent de vous comporter.
— Cette fois là, j’ai passé la nuit dans l’appartement de Michel, et nous avons choisi quelques sous-vêtements l’un pour l’autre. Je ne l’ai pas laissé garder longtemps sa robe de chambre parce que je voulais voir à quoi il ressemblait dans le caleçon que je lui avais donné.

En disant cela, j’ai commencé à délier la robe de chambre de Michel. Juste avant que je l’aie ôtée, il a pris l’appareil photo qu’il avait dans sa poche et l’a remis à Charles. Ça ne faisait pas partie de mon plan, mais j’ai immédiatement aimé l’idée. Avec sa robe de chambre par terre, il se tenait debout uniquement vêtu d’un slip minuscule, très mince et sans braguette, et ainsi la forme de sa queue était parfaitement évidente.

— J’ai aimé découvrir le contour de son pénis dans ce slip.

Comme je le caressais à travers le mince coton, Geneviève a dit :

— ...

... Evidemment, et s’il bandait comme maintenant, tu pouvais aussi voir parfaitement le contour de son gland.

Et Charles a pris une photo.

Michel a pris la parole à son tour :

— Je voulais aussi découvrir Nicole, a-t-il dit en dénouant la ceinture de ma robe de chambre pour me l’ôter.

En le faisant, il m’a tournée légèrement de sorte que Charles et Geneviève puissent apprécier mon string, ce qui a également inspiré Charles pour prendre une autre photo. Au dessus, je portais une camisole assortie, dont une bretelle avait glissé de mon épaule, dévoilant déjà un sein pour eux et pour l’appareil photo.

— Elle avait envie d’utiliser ses mains pour me découvrir, mais j’ai préféré d’abord me servir de ma bouche pour l’explorer.

Il s’est courbé pour lécher mon mamelon et pour le prendre dans sa bouche, le mordant même légèrement et le tirant vers eux. Charles lui a demandé de le garder entre ses dents suffisamment longtemps pour qu’il obtienne un plan rapproché.

— J’ai adoré ce qu’il me faisait et j’en ai voulu plus encore, ai-je dit en passant la camisole au-dessus de ma tête.

Michel s’est alors intéressé à mon autre sein, le tirant de la même manière. Tandis qu’il faisait cela, mes mains s’étaient glissées sous son slip pour caresser ses fesses, et Charles a pris de nouveau plusieurs photos. En me reculant un peu, je leur ai dit :

— Je voulais attendre encore un peu avant de voir complètement sa queue. Alors d’abord, j’ai juste jeté un œil comme ça.

J’ai tiré sur ...