1. Mon amant du bus (1)


    Datte: 04/03/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Lavanessa, Source: Xstory

    ... côté de moi, prétextant qu’il avait passé une mauvaise journée et souhaitait parler de n’importe quoi avec quelqu’un. J’ai accepté, ce que je ne regrette absolument pas aujourd’hui.
    
    Un petit peu de blabla banal, puis il me demanda si je travaillais et dans quel domaine. (tout en discutant, et au rythme des soubresauts du bus, nos jambes se cognaient quelques fois).
    
    Lorsque je lui ai révélé mon job, il m’a dit ne pas être étonnée "que mon élégance et ma beauté seyaient tout à fait pour ce métier".
    
    — D’ailleurs vous pourriez même être mannequin, vous en avez vraiment la plastique, ajouta-t-il.
    
    Je me suis mise à rire puis lui ai dit que les mannequins étaient bien plus fines que moi, que mon haut pourrait peut-être convenir, mais que mes jambes ne correspondent pas aux critères exigés.
    
    — Je ne sais pour votre haut, mais vos jambes sont ravissantes et bien des hommes vous le diraient si vous leur demandiez.
    
    C’est à ce moment-là qu’il fit preuve d’une audace inouïe !
    
    — Vous permettez, je resterai correct, joignant le geste à la parole, il se saisit du bas de ma jupe (qui déjà n’arrivait qu’à mi-jambes) et le remonta de quelques centimètres supplémentaires. Là, ma jupe n’était plus qu’à un rien de ma petite culotte, je pense être devenue rouge comme une pivoine. Tout de suite, je l’ai redescendue en lui disant qu’on pouvait nous voir. C’était une erreur que cette phrase, il réagit directement:
    
    — Je suis content que seul le fait que les autres personnes ...
    ... puissent voir vous dérange, attendez.
    
    Il pivota sur son siège, me fit presque un rempart de son corps (de plus, je crois que personne n’aurait déjà pu voir son manège) et aussitôt releva à nouveau ma jupe.
    
    J’ai ouvert ma bouche, mais il a été plus vite que moi en disant: "Elles sont magnifiques, tu ne dois pas être gênée de les montrer, quand j’étais jeune (dans les années 70’) les filles portaient toutes des jupes assez courtes qui permettaient de voir leurs fesses à chaque mouvement.
    
    Et pendant qu’il me parlait, il me caressait. Etais-je scandalisée ? Gênée ? Je ne sais pas vraiment, mais toujours est-il que ce n’était pas désagréable.
    
    Mais voilà, j’allais arriver à ma destination et lui ai dit que je devais me lever.
    
    Devinez ce qu’il m’a fait et dit ?
    
    Alors que j’étais debout, coincée entre lui et le siège de devant, il a passé sa main sous ma jupe et m’a caressé les fesses en me demandant de ne pas porter un collant le lendemain, "mets plutôt des bas nylon, tu verras ce sera mieux".
    
    Quand je suis rentrée chez moi, j’étais toujours rouge, mon mari m’a demandé ce qu’il y avait et j’ai répondu que j’avais couru, car je pensais qu’il allait pleuvoir. Je suis allée prendre ma douche puis, enfin déstressée, je suis revenue près de lui qui avait déjà préparé le repas.
    
    Tout en mangeant, je n’écoutais mon mari que d’une oreille, je ne cessais de penser à l’homme et à ce qui s’était passé.
    
    Sans que j’y pense et sans avoir préparé cette phrase, elle m’est ...