COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’échafaudage (1/1)
Datte: 13/08/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... le sein gauche que j’avais trouvé plus joli que le droit vu de mon grenier par le Velux.
Je rigole toujours mon humour, il n’empêche que je le tiens fermement et comme Véronique semble reprendre vie à ce contact descendant marche après marche, je me garde bien de l’enlever.
Mieux même, dès que nos pieds sont sur le sol au centre de l’échafaudage, elle se retourne, nos regards se croisent et nos bouches se trouvent.
Je l’aide à sortir de notre cage très peu fermée et c’est elle qui m’entraîne sur la pelouse.
Elle défait la ceinture de mon pantalon pendant que je glisse ma main sous sa robe, retrouvant son string qui est trempé d’envie.
Elle sort ma verge, la regarde avec autant d’envie que je vais avoir à réaliser ce que je pensais tout à l’heure, lui lécher sa petite minette.
• Christian, elle est aussi grosse que ce que j’en avais vu de mon grenier quand je suis montée étendre mon linge, il faisait tellement chaud que j’ai ouvert mon Velux pour faire une circulation d’air et je t’ai vu nu sur ton transat à te faire bronzer près de ta piscine.
Bien sûr, ta bite était au repos, mais j’ai bien pu comparer avec celle de Jean-Noël, même si je la vois de moins en moins souvent ces mois si.
J’allais lui demander si elle pensait qu’il la trompait, mais sa bouche prenant ma verge m’oblige à me taire au moment où elle m’aspire comme nous aspirions notre roudoudou quand nous étions jeunes.
Pour éviter d’être en reste et surtout qu’elle soit frustrée dès ...
... notre premier moment d’intimité, je pivote de 180 degrés, je soulève sa robe, j’écarte son morceau de tissu qui se déchire malencontreusement, me livrant son abricot tout lisse, il devait être aussi doré que ses cheveux avant qu’elle ne s’épile.
Sous ma langue, je sens qu’elle frisonne et comme je suis au bord de lui emplir la bouche, je casse notre joli 69 pour me retrouver la verge entre ses cuisses et glisser divinement au fond de sa grotte.
Pendant les trois jours restants avant le retour de nos moitiés et le passage de sa fille pour venir chercher le clafoutis, nous faisons l’amour, qui au bord d’une de nos piscines, voire dans nos salons, ayant la décence d’éviter nos lits conjugaux.
Seuls les lits de nos chambres d’amis nous reçoivent avec délectation pour des nuits de folie et des matins torrides.
Épilogue.
Viviane est revenue le même jour que Jean-Noël nous annonçant qu’ils avaient été tous les deux à Ramatuelle, que le voyage à Nantes était bidon et qu’il désire vivre ensemble.
Voilà ce que c’est d’avoir épousé une femme vingt ans plus jeune que soi, aucun problème il est vrai, nous avons tiré à pile ou face pour savoir qui de nous ferions notre valise pour rejoindre la maison voisine.
Jean-Noël est marié avec Viviane, je vis en concubinage avec Véronique, tous les ans quand nous plaçons l’échafaudage sous le cerisier qui par chance est de notre côté, immanquablement nous roulons sur l’herbe tendre du printemps, nous remémorant la folle journée que ...