-
Mylène, de femme modèle à salope assumée (5)
Datte: 04/03/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: lammergeyer, Source: Xstory
... raconté à ton père notre nuit à trois dans le même lit avec Jean-Jacques ? — Non. Je finissais de résumer ma journée dans ta clinique. Je t’ai trouvé d’ailleurs très pro quand on est passé dans ton service et que tous ont vu comment tu te laissais peloter à l’occasion pour redonner le moral aux patients. — Et pas qu’aux patients, puisque plusieurs de tes collègues en ont profité également en passant près de moi, ne se doutant pas probablement de notre lien familial. - 0 – Elles se mettent ensuite alternativement à me décrire leurs sensations respectives de s’être donnée corps et âme à Jean-Jacques qui a usé et abusé d’elles pour leur plus grand plaisir, même si cela a été un peu dur parfois. Après votre départ avec Marie, il a exigé qu’on le vouvoie et de toujours répondre « Oui Maître » quel que soit l’ordre donné. Mais, s’il devenait impossible de continuer, vue la douleur ressentie, les deux seuls mots autorisés étaient « JE JOUIS » pour le faire arrêter aussitôt. En conséquence, si on les avait prononcés alors qu’on jouissait vraiment, la punition aurait été féroce ! Jean-Jacques s’est montré si pervers que nous ne nous attendions jamais à ce qu’il allait nous faire subir. Il a démarré pianissimo pour nous mettre en confiance surtout avec moi, a continué Hélène en lui demandant d’abord de jouer la danseuse pro d’un cabaret pour le faire bander avant de le sucer. Mais tout cela dans le jardin sous les yeux du voisin manifestement prévenu, puisqu’il avait ...
... deux copains à ses côtés à la fenêtre aussi âgés et décrépis que lui avec une bedaine leur cachant sans doute la bite quand ils pissent pour te donner une image. Ils m’ont traitée de tous les noms pendant mon show, même si je me donnais beaucoup avec un long foulard de maman pour le glisser entre mes seins ou entre mes cuisses pour bien les exciter et surtout mon Maître qui a commencé de bander doucement, comme s’il contrôlait entièrement son début d’érection. Quand il a voulu que je le suce, il m’a demandé de m’asseoir sur ses genoux face aux vieux voyeurs-branleurs avant de me saisir par les mollets pour me les poser sur ses épaules afin d’avoir ma chatte sur sa bouche. J’étais inconfortablement installée la tête en bas en appui sur les avant-bras pour prendre en bouche sa queue et qu’il me la baise en gorge profonde. De son côté, il a tenté d’aspirer mes toutes petites lèvres avant d’en coincer une entre ses dents pour l’étirer à m’en faire pleurer. J’ai pu souffler un peu avant qu’il ne réussisse à se saisir de l’autre. Il a fini par pincer mon capuchon entre ses doigts pour en extraire mon gland clitoridien qu’il a réussi à mordiller. Une violente décharge a traversé alors mon bas-ventre au point que j’ai versé des larmes, mais j’ai surtout joui comme jamais. J’ai failli m’étouffer plusieurs fois et craché une quantité de salive sur sa queue avant qu’elle se mélange avec sa semence qu’il m’a forcée à avaler, mais avec grande difficulté ayant dû garder la tête en bas ! ...