Colocation ambiguë - chapitre 4
Datte: 03/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Novella, Source: Hds
Je me retrouvai vite allongée sur mon lit, quatre mains se baladant sur mon corps, ma chatte, mon cul. Comme hier, ils entrèrent un doigt chacun dans ma fente et mon petit trou. Puis deux. Théo se mit au-dessus de moi, j’avalai sa bite dure. Et alors que Théo s’amusait avec mon clito, Simon pressa son gland contre mes lèvres et me pénétra doucement.
Les va-et-vient, d’abord lents et en accord avec les caresses de Théo, s’accélérèrent jusqu’à me secouer d’un premier orgasme. Simon donna un dernier gros coup de reins avant de se retirer brusquement et de repousser mes jambes pliées sur les épaules de Théo pour relever un peu mon bassin. Il enfonça un pouce humide dans mon cul. Je coulai déjà un peu, je savais que j’allais de nouveau tremper le parquet s’ils continuaient à me faire du bien comme ça.
— T’aimes ça, hein ? me demanda-t-il, en frappant ma fesse droite.
Je poussai un petit cri de surprise et d’engouement. Il retira son pouce et pressa son gland contre mon olive pour l’écarter tout doucement. Je n’avais jamais été pénétrée par une aussi grosse bite. Mes godes étaient nettement moins larges, alors il eut du mal à entrer.
— Hmm… T’es si serrée, s’extasia-t-il.
Il s’enfonça jusqu’à la garde et s’immobilisa pour me laisser le temps de me détendre et me faire à sa largeur. Moi, j’avais abandonné ma pipe pour m’occuper du cul, désespérément vide, de Théo qui se sentait lésé. Je lui avais dit de fouiller dans mon tiroir et de choisir un plug. Il avait opté ...
... pour mon préféré, ni trop large, ni trop long, mais suffisant pour te remplir. Et vibrant. Il prenait son pied, j’y allais doucement, quand Simon commença les aller-retours dans mon petit trou, me faisant sursauter. J’enfonçai brusquement le plug dans celui de Théo qui se tordit de plaisir et éjacula sur ma poitrine.
— Merde, s’énerva-t-il. Fait chier !
— Désolé, souffla Simon, perdu dans le plaisir que lui procurait mon orifice étroit.
— Ça va revenir, t’inquiète pas, murmurai-je à Théo qui, frustré s’était assis sur le lit et nous regardait baiser d’un œil vide. On va s’occuper de te faire bander comme un cheval.
— On ?
— Plus on est de fous, plus on rit, parait-il.
Il sourit et caressa ma joue tendrement. J’aimais la tournure que ça prenait. J’aimais cette sensation d’être baisée comme une pute, mais en même temps aimée et adorée. Théo se rapprocha de moi pour que je puisse prendre sa demi-molle en main et continua à caresser mes cheveux avec tendresse tandis que Simon m’élargissait l’anus. Je sentais un nouvel orgasme poindre quand il se retira tout aussi brusquement que la première fois et s’éloigna de moi. Frustrée, j’étais prête à protester quand je le vis ouvrir mon tiroir et fouiller dans ma collection.
— T’as une de ces collections, remarqua-t-il. Si on avait su que t’avais ça plus tôt, on t’en aurais sûrement piqué un ou deux.
Théo pouffa de rire. Il avait toujours le plug vibrant dans le cul. Ça l’aidait à regonfler dans ma main. De temps en ...