1. Hélène (41)


    Datte: 02/03/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: rouge22, Source: Xstory

    ... de décolleté. Elles lancent des plaisanteries légères, voire coquines qui ne me laissent aucun doute sur la suite de la soirée.
    
    Nous finissons nos desserts et nous sortons. Dans la rue, Helene m’attire contre elle, pose ses lèvres sur les miennes, puis fouille ma bouche. Elle plaque sa main sur ma nuque. Patin d’enfer !
    
    Elle m’attrape par la hanche et colle la sienne contre la mienne. Elle attire ma pogne sur sa taille. De l’autre côté, Mel se serre contre moi, s’empare de mes doigts et les pose sur le haut de son fessier. En jetant un coup d’œil en arrière, ma belle repère la position de ma paluche gauche et fait descendre ma droite en plein milieu de son glorieux popotin. Sa gentille amie, par souci d’équilibre, sans doute, déplace ma pogne en plein milieu de son opulent postérieur.
    
    Nous gagnons ainsi ma voiture, pendant ce court trajet, je pétris les délicieuses masses charnues valsant en liberté sous la soie. Je suis aux anges.
    
    Arrivés à la voiture, je leur ouvre les portières. C’est encore l’occasion de laisser les jupes s’écarter et m’offrir le spectacle de leurs cuisses au-dessus des bas et d’exhiber furtivement leurs sexes libres de toute lingerie. Mel en profite pour me susurrer ...
    
    — Mon cher Pierre, vous avez bien compris que ce soir, vous allez passer à la casserole.
    
    Elles m’entraînent vers l’étage, chacune me tenant par la main. Dans la chambre, notre grand lit est découvert. Quatre cravates ont été attachées à chacun des coins.
    
    — Mon ...
    ... chéri, laisse-toi faire ! Me murmure ma sultane.
    
    Et elle déboutonne ma chemise. Mél, quant à elle, s’attaque à la ceinture de mon pantalon. De la pointe des pieds, je me déchausse. Me voici nu. Doucement, Hélène me pousse et je tombe en arrière sur le drap. De moi-même, j’écarte les bras et les jambes. Elles me lient, je n’ai aucune appréhension, je suis bien, je me livre avec bonheur. Mon amour me glisse deux oreillers dans le dos pour que je sois redressé.
    
    Les deux matures se placent au pied du lit, elles se font face et chacune défait la ceinture de l’autre. Elles se tournent vers moi et secouent leurs épaules, la soie glisse et tombe.
    
    Elles sont magnifiques, leurs beaux seins en liberté tombent à peine, agités d’un léger balancement. Leurs chattes sont épilées de façon identique en ticket de métro.
    
    Elles pivotent sur elles-mêmes. J’avais vu juste, leurs croupions s’offrent à moi, sans voile, seulement encadrés des serre-tailles, des jarretelles et de la lisière des bas. Elles ôtent les épingles de leurs chignons pour défaire leur coiffure. En cadence, elles ondulent de la nuque jusqu’au cul, leurs belles chevelures balaient leur dos, jusqu’au milieu des omoplates.
    
    Cette ondulation fait danser leurs fesses, qui laissent échapper un éclat coloré. Ces coquines se sont embijouté l’anus.
    
    Hélène se glisse à quatre pattes vers moi, un foulard noir à la main. Elle me bande les yeux. Puis elle enlève les coussins de mon dos pour m’allonger. Elle murmure à mon ...
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