L'Histoire est un long cheminement ! (13)
Datte: 02/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: AlexisPC, Source: Xstory
... vraiment que si je ne croyais pas à ce que je viens de te dire, je resterais si stoïque face à ce tableau ?
Il faut dire que j’avais du mal, car j’avais rarement vu Vanessa se délecter d’une chatte à ce point. Elle léchait la vulve de Gisèle tout en se masturbant, trois doigts pénétrant son vagin et une main triturant sa poitrine si merveilleuse. Elle dévorait Gisèle et prenait un plaisir inouï à ce geste. Il faudra d’ailleurs que je lui en parle, elle m’excite terriblement et je dois faire appel à tout mon self-control pour ne pas débouler dans cette pièce et les baiser toutes.
— Excuse-moi ! Je suis terriblement stupide par moments.
— Ne le sois pas ! Je n’ai pas exactement réagi ainsi la première fois ! dis-je en me remémorant toutes nos aventures et en riant.
— Ah oui ? Dis-moi.
— Pas maintenant, ce serait trop long. Alors, je te repose ma question ! Que dirais-tu de rejoindre Gisèle ?
— Alexis ! dit-il comme s’il était désolé.
— Me fais-tu vraiment confiance ?
— Oui !
Ce "Oui" avait été net, direct et sans hésitation.
— Alors, laisse-toi aller. Profite de ce moment et fais-toi le bien que tu mérites aussi.
— tu veux que je me branle ?
— Pas du tout ! Dis-je en poussant le bouton de la sonnerie pour la dernière fois.
Nicole se détacha alors du groupe et poussa un interrupteur sur le mur.
Notre pièce s’éclaira alors que la pièce principale venait de basculer dans la pénombre, uniquement éclairée par les appliques du mur ...
... diffusant une faible lumière ne permettant que de distinguer les contours et les formes de ces dames.
Gisèle releva la tête et, regardant la source lumineuse, vit immédiatement Hugo.
J’avais pris la peine de me cacher derrière le mur. Je ne voulais pas que la présence d’un autre homme ruine notre petit manège. Je savais sa répulsion à ma catégorie et, sérieusement, seuls Hugo et Gisèle m’importaient.
— Hugo ? Fut la seule parole qu’elle prononça. Elle était tétanisée par la peur.
J’avisais la scène et lui répondis :
— Souris, Hugo ! Montre-lui que tout va bien ou tu vas la perdre !
Et Hugo sourit. D’un sourire ravageur, enthousiaste, sincère, flatteur et débordant d’amour. J’étais si fier de lui à ce moment. Il venait, à son tour, de basculer de l’autre côté. Celui des êtres pour qui le plaisir est sans limites, sans barrière morale, total et absolu. Je lui demandais.
— Parle-lui en appuyant sur le bouton bleu en face de toi ! Mais attention, pèse tes mots. Ce que tu vas dire va déterminer ton avenir.
Sans me regarder, mais implorant du regard que je l’aide, je compris qu’il ne savait que faire. Je lui dis alors.
— Je t’aime Gisèle ! Tu es si belle lorsque tu jouis. Ne me prive plus longtemps de ce plaisir ! Continue pour toi et pour moi !
Il appuya sur le bouton et sa voix résonna :
Gisèle sourit en entendant sa voix et dit :
— Pas si tu n’es pas là ! Tu es ce qu’il me manque. Viens mon amour. S’il te plaît, viens me posséder pour que je jouisse ...