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L'été de mes 18 ans 31
Datte: 01/03/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: byJeunefilleperverse, Source: Literotica
... passée, elle prit appui sur les cuisses de Philippe et se mit à monter et descendre. Je vis qu'elle appréciait manifestement le phallus de Philippe. Elle murmura : « Hmmm, qu'est-ce qu'il est gros! Je ne pensais pas arriver à le prendre en entier... ». N'ayant pas eu mon compte pour le moment, j'allais m'assoir sur le visage de Philippe qui se mit à me lécher et me sucer la fentine. Je murmurai à Angélique : « Retourne-toi que je te bécote! ». Elle opéra un demi-tour, saisit le sexe de Philippe avant de se l'introduire à nouveau en frissonnant. Nous nous bécotâmes en nous caressant les seins. Je sentis l'impatience de Philippe monter. Il avait pris en mains les fesses d'Angélique et la soulevait de plus en plus haut avant de la laisser retomber sur son pieu. Il se mit à râler tandis que je voyais les yeux d'Angélique se révulser. Elle hurla son plaisir tandis qu'il déchargeait dans sa chatte ruisselante. Ce spectacle me fit jouir copieusement à mon tour. Manon et Angélique disparurent dans la salle de bains. Je restais dans le salon avec Philippe. Nous papotâmes quelques instants. Il me raconta que ...
... Clotilde était de plus en plus délurée et que cela lui plaisait énormément. Tandis qu'il parlait de sa femme, je vis son sexe commencer à se redresser. Je trouvais cela incroyable. Alors qu'il venait de décharger deux fois en peu de temps, il n'avait pas l'air vraiment fatigué! Voulant voir s'il pourrait vraiment bander encore, je me mis à caresser ses bourses puis je saisis la hampe et le branlai doucement. « Arrête, sinon je t'encule! », me dit-il d'un ton sévère. Au lieu de me stopper, cela me fit redoubler d'ardeur car je repensais à la dernière fois où il m'avait enculée et au plaisir que j'avais alors ressenti. Son pieu était maintenant bien raide. Il me fit alors mettre à quatre pattes sur la moquette et se positionna debout derrière moi. Il commença par promener sa queue dans mon sillon avant de placer son gland sur ma corolle qu'il avait auparavant humecté de sa salive. Je poussai un grand cri lorsque son gland força mon sphincter. Il resta quelques instants sans bouger, me laissant m'habituer à la douleur, puis mon sphincter se dilatant, il s'enfonça de plus en plus profondément dans mes reins.