La déchéance de Pauline, la belle bourgeoise coincée
Datte: 01/03/2022,
Catégories:
fh,
jeunes,
jardin,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
intermast,
Oral
fist,
nopéné,
confession,
rencontre,
Auteur: Guiguiadsl92, Source: Revebebe
... justement de rester le plus longtemps possible, bercés par la nature environnante, par le calme de la forêt, par la peur d’être éventuellement surpris par des voyeurs et qui sait en plein ébat sexuel. C’est alors que notre premier rapport hors pénétration commença. Après de longs baisers tendres, mouillés, je commençais à la lécher doucement, tendrement, affectueusement, son corps ne demandait que cela, être comblé par un homme viril et attentionné. Je sentais ses seins devenir troublés par mes assauts, cette paire de seins si séduisante, si bandante pour n’importe quel mâle en rut.
Son cœur commençait même à résonner dans la clairière, j’avais le sentiment que même les éventuels animaux aux alentours nous entendaient. Je percevais ses gémissements, ses murmures de satisfaction lorsque mes lèvres avides embrassaient son corps dodu et menu, sa robe ne demandait qu’à être arrachée, déchirée et réduite en morceaux. Je m’évertuai donc à délivrer cette poitrine appétissante qui ne demandait qu’à être croquée, dévorée, malmenée. Sa paire de seins était réellement démente, extrêmement alléchante. Le tour était joué, la sainte nitouche avait les seins à l’air, des rougeurs de honte et même de gêne apparurent sur ma bien-aimée.
Elle allait bientôt se dévoiler à son homme, s’offrir en partie à cet animal en chaleur que j’étais. Je dévorai chaque partie de son corps, chaque recoin, chaque grain de beauté, chaque parcelle de ses intimités. Tout m’enivrait chez cette merveilleuse ...
... créature, son corps, ses odeurs, ses gouttes de sueur mêlées à l’excitation d’une éventuelle première fois, la crainte de se faire repérer, la peur de la première fois avec son amoureux.
Mes mains curieuses et très vicieuses se baladèrent sur l’ensemble de son corps, je découvris avec une avidité des plus certaines que cette bourgeoise de bonne famille, bien élevée portait un tanga, un string de belle qualité. Quelle cochonne, elle qui semblait si réticente, elle qui avait un tel air de sérieux, de bonne éducation, j’étais persuadé qu’elle ignorait ce qu’était un string et elle en portait un. Je comprenais donc pourquoi son fessier était aussi bien mis en valeur au travers de sa jupe de coquine. Elle cachait bien son jeu, cette Pauline bien élevée au bon grain et au bon lait maternel.
Au fur et à mesure de nos échanges, une idée me vint en tête, je tenais à lui faire monter un désir fulgurant pour ensuite l’interrompre et lui refuser le bonheur de ressentir mon sexe volumineux en elle. Une technique que j’adore pratiquer avec mes conquêtes, soit dit en passant. Alors que sa respiration devenait haletante, telle une jeune pucelle en chaleur, découvrant la chaleur corporelle d’un mâle, je sentais son corps réclamer ma puissance bestiale. Mes mains continuaient à caresser ses cuisses, à fouiller ses intimités. Après avoir effleuré son antre vaginal, je réalisai avec un immense bonheur que sa vulve toute jeune et fraîche mouillait d’une très forte intensité. Quelle cochonne ...