les tourterelles (5)
Datte: 27/02/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: jane.mourvedre, Source: Xstory
... trahissent son avidité pour la sodomie. Ses caresses sur con clitoris et ses lèvres sont hystériques, elle est déchainée. La lycéenne du train, en tailleur et ballerine, se transforme en femelle en chaleur, elle geint, elle sue, elle gémit, elle mouille en tortillant son croupion.
Son anus est rempli de salive, il en suinte un jus exquis. Mon annulaire rejoint ses deux compères dans sa bouche. En le suçant avec les autres, je suis sûre qu’elle comprend ce qui va se passer et, en le léchant, elle l’accepte. Quand je retire mes doigts, Clotilde se cambre, s’immobilise, bouche ouverte … Elle tourne la tête vers moi, elle me fait un timide sourire que je lui rends en posant les trois sur au cœur de sa raie. Elle suinte de ma bave, ce qui m’aide à enfoncer lentement les premières phalanges qui disparaissent. J’écoute sa respiration, elle tente de se calmer tandis que je pousse forçant et en tournant mes doigts dans son antre si serrée, si étroite. Elle murmure des mots incompréhensibles, le visage tourné vers moi. Ses yeux se remplissent de larmes, je lis sa douleur sur ses lèvres et pourtant, elle tend ses reins dans ma direction. « Putain que ça fait mal avoue-telle …. Mais surtout n’arrêtez pas … ». Mon sourire la rassure sur mon intention et mes doigts continuent de dilater son rectum vierge qu’elle m’offre avec obstination … Je commence à les bouger en elle, ils trouvent leur place, compressés par les parois de son anus, mais l’ouvrant millimètre après millimètre. ...
... Clotilde les accepte. Le va-et-vient commence, d’abord lent, l’intensité augmente. Elle n’a plus peur de se laisser aller, ses cris augmentent à chaque fois que je les plante au plus profond de son cul. Elle pose ses mains sur le rebord de la baignoire pour se stabiliser, tourner ses épaules et me regarder pendant que je la sodomise. Ses larmes coulent toujours mais elle sourit « Prenez-mon cul, baisez-le, baisez-moi, faites de moi votre salope, apprenez-moi … que ça fait mal mais putain que c’est bon de se faire enculer… » Entre chaque cri et gémissement elle hurle ces mots de jouissance. Elle finit par s’écrouler après avoir lâché un nouveau jet d’urine sur mes cuisses. A demi inconsciente, le la prends dans mes bras pour la porter dans mon lit et la laisser récupérer de ce moment intense.
Après une bonne nuit de sommeil, Clotilde me rejoint sur la terrasse. Elle me gratifie d’un timide sourire et, me voyant nue, elle laisse glisser sur ses frêles épaules le peignoir qu’elle m’a emprunté.
- Bonjour Jane. (Rougissante, elle me regarde dans les yeux, ses petits tétons sont tendus, alors qu’il ne fait pas froid et qu’il n’y a pas de vent). Vous êtes le diable. Je ne sais pas ce qui s’est passé. J’ai eu mal. J’ai joui si fort. J’ai perdu connaissance. Et je me retrouve là, nue, sur votre terrasse …
- Le diable, je ne sais pas … mais, si je me souviens bien, tu ne t’exprimais pas comme un ange. Nous avons passé un pacte hier soir, tu ne l’as pas oublié … (je la vois ...