les tourterelles (5)
Datte: 27/02/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: jane.mourvedre, Source: Xstory
... je sais ce qui va se passer. Alors écoute-moi bien car je ne me répèterais pas. Quand j’aurais fini ce monologue tu auras deux options, soit remettre la tenue qui est dans ton sac et rentrer chez toi, il n’est pas tard, tu diras que Sarah était malade et que la soirée est annulée ; soit rester, me faire confiance et continuer d’obéir.
Dans cette option, quand je reviendrai tu seras à genoux, les mains derrière la tête et je commencerais ton éducation, car c’est ce pourquoi tu es venue !
Autrement, tu seras libre de partir ou d’arrêter à n’importe quel moment, mais comme il est écrit dans les salles de concerts, toute sortie est définitive ».
A ces mots, je me lève et la laisse seule dans le salon. Je vais dans ma cuisine me servir un petit remontant, car je sais que j’y suis allée fort, elle est si jeune. Je reste un moment, je savoure mon rhum et l’instant. Je la laisse mariner, je devine ses réflexions, le désir, la honte, l’envie, le plaisir, la peur, la peur d’aimer ce qui l’attend … Je patiente encore. Je n’ai pas entendu de bruit, ni de porte qui claque.
Je retire ma robe et je remets en place le harnais de cuir qui m’exhibe. Je fais bien passer mes lèvres intimes entre les lanières, je recale mes seins et je fais claquer mes ongles sur mes tétons pour les dresser. Puis je me lance, mes talons claquent sur le parquet. Je joue mon rôle a fond. J’entre dans le salon.
J’ai gagné !
Je me plante devant elle, les mains sur les hanches et contemple ma ...
... victoire. Clotilde est bien là, à genoux. La tête baissée. L’auréole qui tache son entre-jambe a doublé de surface. Les pointes de ses seins sont si tendues qu’elles pourraient percer le body. Des larmes ont glissé sur ses joues, ses lèvres tremblent, ses aisselles brillent. Elle me regarde. Je ne sais pas si c’est de la peur, de l’excitation mais elle se fige en voyant ma tenue de cuir, provocante, indécente, totalement sexuelle. Comme un vampire, je me délecte de cette tension. J’absorbe ses émotions. Son regard est un mélange de tout cela auquel s’ajoute une lueur de folie qui me dit je me donne corps et âme, ne me décevez pas … Puis, baissant les yeux, elle murmure « apprenez moi s’il vous plait, faites de moi une femme – puis encore plus doucement - faites de moi une lesbienne … Jane … Madame … ».
C’était au-delà de mes espérances.
Je m’approchais d’elle, face à elle. Mes doigts attirés par ses tétons turgescents les attrapent. « Je suis très fière de toi Clotilde » dis-je en pinçant ses pointes, les étirant. Elle gémit, elle miaule ce petit cri félin qu’elle produit quand elle jouit. Je tire sur ses bouts pour la faire se relever, cette douleur ne cesse de la faire couiner, son plaisir l’enflamme. Elle sent le sexe, la tâche remonte sur son ventre ; son visage est si proche du mien, je vois dans mon champ de vision, ses aisselles brillantes et parfumées qui saturent mes narines. A mon tour de me faire carnassière, et je commence à lécher son visage, son nez, sa bouche, ...