Séduction délicate de la soeur de ma mère (36)
Datte: 27/02/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... souffle, énervée de se justifier de la sorte, mais également perdue dans son mensonge) je... j’ai posé ma chemise ce matin en rangeant les affaires et sans m’en rendre compte, je l’ai oubliée dans la cuisine... euh... et c’est parce que je suis allée te voir pour prendre ton bain ! Lui rétorqua-t-elle, fébrile dans sa façon d’être.
— Ne t’énerve donc pas comme ça, je trouvais juste étrange de la voir pliée dans la cuisine. N’en parlons plus et pas de dispute avant de partir, j’ai horreur de ça.
— Je ne m’énerve pas mais tu insinues des choses avec Patrick, c’est vraiment déplacé de ta part maman et je ne sais pas ce qu’il en pense (Vérome regarda, en attente de mon soutien)... tu me balances que je me balade à poil devant lui dans cette pièce, tu penses vraiment ce que tu dis ? Lui demanda-t-elle en maintenant d’une main le col de son peignoir.
Elle avait haussé le ton pour cacher la terrible vérité. Ma grand-mère ne mouftait pas et j’étais désormais le seul dans la pièce à rester muet. Véronique évitait mon regard, de peur d’être prise en flagrant délit d’un geste ou d’un signe, lequel symboliserait notre tendre complicité. Une bombe était amorcée et dans le cas précis, je devais faire preuve d’imagination pour sortir Véro de ce pétrin...
— Allez Véro arrête... Mamie, quand on est au bord de la piscine, Adeline est en bikini tout comme Véronique et pour tout te dire, je n’ai même pas prêté attention à sa tenue ce matin (j’éteignis mon mégot) alors, on va pas en ...
... faire un plat, elle porte une robe de chambre quand même. Argumentai-je en sa faveur.
— Oui mais moi, j’ai tout de suite remarqué et à mon époque, on ne se contentait pas de mettre une simple robe de chambre pour prendre le petit-déjeuner. Poursuivit-elle.
— Oh maman, la barbe ! on a changé d’époque, je vais faire ma toilette. Se contenta-t-elle d’ajouter.
Heureusement pour elle, ma grand-mère n’avait pas remarqué qu’elle portait déjà son pyjama au petit-déjeuner. Dès son départ, ma mamie s’inquiéta de sa nervosité et même de son arrogance. En plaidant sa cause, j’avançai les propos exagérés qu’elle lui avait tenus. Certes elle n’avait rien mis sous sa robe de chambre, mais de là à finir par lui dire qu’elle s’était promenée nue sous mes yeux, il y avait eu exagération de sa part. Mamie acquiesça mes dires.
En lui expliquant tout cela, j’avais menti éperdument et le pire, ce fut l’intérêt qu’elle avait porté à mes arguments éhontés. Le premier mot qui m’était venu à l’esprit fut dignité. Je n’étais pas digne vis-à-vis d’elle et intérieurement, mon estime de moi se définissait avec trois lettres réunies, nul.
Pour unique défense, qualifiée de légitime dans cette espèce de logique impartiale, je ne pouvais pas avouer à ma grand-mère que j’étais tombé fou amoureux de sa fille ! Et vice-versa, Véro n’allait pas lui confier qu’elle voulait un second enfant de moi. La pauvre femme nous aurait fait une attaque cardiaque sur le coup.
Après des adieux déchirants avec ...