Confinement bis (2)
Datte: 27/02/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: dominic47, Source: Xstory
... monstrueux, continue sa lente ascension, ce pieu commence à glisser dans les profondeurs de la chatte trempée puis dans un grand soupir, Hortense l’avale en entier. Cette invasion lui fait perdre pied. Elle se laisse aller en arrière, s’allonge, se crispe, les mains agrippées à la table, elle suffoque, râle.
Hortense ne résiste plus, elle a même posé ses mains sur les cheveux de son frère, comme pour lui demander de rester. Elle oublie tout. Dans un état proche de l’hystérie où toute lucidité s’est brisée en mille morceaux, elle ne vit que pour ce forage qui distant toutes les chaires sur son passage, un envahissement total qu’elle n’a jamais connu. Ce priape atteint alors son but, il est rentré totalement, laissant juste les testicules collés à ses fesses.
Olivier l’observe reprendre son souffle et tout doucement, il retire le mandrin en lui imprimant une légère rotation avant de le replonger presque avec brusquerie au plus profond de son vagin. Hortense se cabre, mais ne se soustrait pas. Alors son frangin se retire sur toute la longueur et entame un va-et-vient rythmé. On le voit attentif au plaisir de sa sœur, et visiblement, celui-ci l’envahit. Sa respiration s’accélère, elle gémit, crie, râle, son bassin se soulève et Olivier, très appliqué, sent qu’il faut brusquer les choses. Il aimerait être tendre, mais cette fois, ce n’est plus possible. Il s’enfonce d’un trait dans la chatte juteuse.
— Ooooooooooooooh geint Hortense.
Il poursuit par de longs et ...
... profonds allers et retours qui se transforment très vite en un implacable pilonnage. Et là, quasiment malgré lui, il la baise comme un forcené, il se déchaîne.
— Aaaaaaah tu vas me faire mourir !!! gémit-elle.
Hortense encaisse ces coups de reins dignes d’un marteau-pilon, Olivier n’est plus vraiment maître de lui-même... Ce corps, ces hanches, ses seins qui tressautent au rythme de ses aller-retour, les tétines gorgées de sang qui le narguent et surtout cette chatte qu’Hortense serre autour de sa queue ont raison de lui. Il s’enfonce encore plus profond et elle gémit au rythme effréné de ses assauts tout en lui réclamant toujours plus.
— Oh oui, olivier ! Baise-moi fort ! je suis à toi ! C’est bon ! Ne t’arrête pas ! lui dit-elle en relevant ses jambes pour croiser ses pieds dans le dos de son frangin.
Hortense est sous emprise, plus aucun contrôle n’est possible, la femelle en chaleur a pris possession d’elle, rien ne compte que ces va-et-vient qui lui écarte ses chaires, le centre de son univers se situe dans son vagin, elle crie, elle geint, elle se dilate et s’ouvre au maximum.
Olivier n’en peut plus, son cœur va exploser, il est totalement à bout de souffle, la sueur brûle ses yeux, il sent le point de non-retour approcher. Pourtant dans un éclair de lucidité, il veut faire encore durer, il doit rester maître du jeu, et il arrive tant bien que mal à ralentir un tant soit peu son pistonnage puis s’arrête, abuté au col de l’utérus.
— Nonnnnnnnnn geint elle ...