Les Chroniques de la Lance (1)
Datte: 27/02/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Illégitimes, Source: Xstory
... sorcière esquissa un sourire coquin qui en disait long. Ni une ni deux, le nordien l’attrapa en passant son gros bras sous ses jambes et la souleva du sol pour l’entraîner dans les étages jusqu’à la chambre qu’il avait réservée.
Il la jeta sur le lit d’un seul geste, toute légère qu’elle était malgré sa taille du point de vue du colosse qu’était Ulfric.
Eryne commença à déboutonner sa tunique, libérant ses seins. Se redressant sur le lit, elle la laisse glisser le long de son corps, passer ses hanches larges juste assez pour préserver un peu le secret de ce qu’il se trouvait en dessous. Ulfric lui retira rapidement ses protections qu’il portait encore, puis ses vêtements.
Eryne rougit à la simple vue du membre viril d’Ulfric, bandé comme une arme prête à l’assaut, taillé comme une bête de somme.
Elle rampa à quatre pattes sur le lit, se libérant du reste de sa tunique tout en ne dévoilant pas encore sa zone intime et se glissa tout au bord pour mieux appréhender ce qui lui était destiné. Clairement, la taille était impressionnante et elle se demandait même si cela ne lui serait pas extrêmement douloureux d’essayer de faire entrer ça en elle.
Elle tenta de l’empoigner dans la main, sans parvenir à en faire le tour, ce qui la laissait d’autant plus songeuse, car l’écart entre ses doigts était vraiment important. Elle avança sa bouche pour lécher ce membre turgescent qui lui ouvrit l’appétit et effaçait sa peur.
Elle essaya de le faire entrer dans sa bouche, ...
... sans grand succès tant il était imposant pour elle. Alors elle le lécha encore et encore, comme emportée par l’envie de réussir quelque chose. Au nouvel essai, elle arriva à faire entrer ce gland terrible qui lui étirait la mâchoire.
Le géant la lança en arrière, la couchant sur le dos d’un simple geste de la main. Elle se redressa sur ses coudes, jambes écartées. La toison sombre se trouvant entre ses cuisses était luisante, appétissante aux yeux de l’aventurier. Il s’avança vers elle, montant sur le lit, se faufilant entre ses cuisses, les saisissant et les tirant d’un coup sec pour la ramener plus près. Son gland reposait tout contre les lèvres de la demoiselle, se frayant un chemin entre la forêt noire. Ulfric saisit la sorcière à la gorge de sa main gauche tandis qu’avec la droite posée sur sa cuisse, il la tirait vers lui, faisant ainsi entrer sa lame dans ce fourreau, l’attendant.
Eryne se libéra au fur et à mesure que sa queue entrait en elle et de la douleur à son passage par un cri long teinté d’excitation. Cette épée vibrante lui déchirait les entrailles et distendait ses parois intérieures, mais au second assaut, la douleur était moindre, au suivant, il y avait comme une dose de plaisir intense qui se joignit à la danse.
Plus Ulfric y allait fort, plus en souffrait. Il allait si profondément en elle que la douleur était grande, plus grande que le plaisir. Elle plaça ses mains sur son ventre et prononça quelques mots vite suivis par une lueur bleutée. La ...