Nymphomane, moi ? Tome III (11)
Datte: 27/02/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... dans mon dos, son phallus énorme et raide frotta mon pubis entre mes fesses, ses mains se plaquèrent au bas de l’intérieur de mes cuisses et suivant les lanières du porte-jarretelles firent une lente reptation vers ma chatte en feu.
Il écarta mes grandes lèvres, son majeur s’insinua dans mon vagin trempé, il fut bientôt suivi de deux autres doigts, longs et décharnés. Il frotta de plus en plus fort son membre démesuré dans la fente de mon cul. Ses doigts entamèrent dans ma chatte une valse, ils me tirèrent des gémissements de plaisir et des halètements saccadés.
— La femme blanche aime les caresses du vieux noir, sa chatte est trempée. Attends que ma bite te pénètre.
Mon corps commença à onduler. Il lécha mon cou gracile, récita ce qui devait être des formules magiques. Je fus de plus en plus excitée, mon cerveau ne commandait plus. Je fermai les yeux, me laissais couler un peu plus profondément dans la perversion. Lorsque je les ouvris, il était devant moi, nu, le sexe en totale érection son gland circoncis dépassant largement son nombril, une énorme paire de testicules pendait entre ses cuisses. Il tenait une sorte de chasse-mouche, fait d’un manche en bois sur lequel étaient fixées de nombreuses lanières de cuir.
— L’esprit malin qui se cache en toi va être atteint par les lanières du Fimbu, puis il sera dilué par le sperme que je vais éjaculer dans ta chatte !
Toujours, psalmodiant, il caressa mes seins avec les fines courroies, ce fut très agréable, je ...
... tendis la poitrine en avant, il fit de nombreux passages, excita mes mamelons, jusqu’à ce je gémisse de plaisir. Puis un rictus me montra à nouveau sa bouche édentée et un coup s’abattit sur mon sein droit, le gauche eut droit au même traitement, cela les rendit plus fermes et mes mamelons durcirent encore plus. Il flagella mes flancs, mon dos sans trop appuyer les coups, avec mes amants au boulot, avec le fermier et son fils, j’avais pratiqué cette expérience de flagellation et je ne détestais pas. Lorsque le martinet s’attaqua au haut de mes cuisses puis à mes fesses et à ma chatte, je râlai et hoquetai de plaisir. Le foutre coula sur mes cuisses le long de mes bas.
— Oui, oui, encore, encore fouette-moi encore, mes seins mes tétons, lui criai-je.
Me tortillant avec volupté et tendant mon corps vers les coups qui pleuvaient. Dans un brouillard érotique, je regardai N’Doumbé, il branlait avec vigueur son énorme appendice noir, son frère par contre avait toujours le pénis qui pendait mollement entre ses jambes. Le sorcier délaissa son fouet en souriant, il s’avança vers moi. Il me prit une jambe avec son avant-bras décharné, la souleva et l’écarta largement. Avec son autre main, il positionna le gland de son phallus éléphantesque à l’entrée de mon vagin le pénétra un tout petit peu.
— Oui, oui, enfonce-moi ta bite noire. Ouuiiii, vas-y, je veux sentir ta queue au fond de ma chatte. Dans un brouillard érotique, pénètre-moi ! Je veux sentir ta grosse queue ! Baise-moi ...