1. Nymphomane, moi ? Tome III (11)


    Datte: 27/02/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... respirai fort dans mon étourdissement post orgasmique en attendant qu’un semblant d’ordre se rétablisse dans ma tête. J’ouvris les yeux, personne, pourtant, il était bien là, j’en étais sûre !
    
    La raison revint, je devais trouver qui était cet homme, ce qu’il voulait. Je ne pouvais toujours pas distinguer ses traits, mais il devait être l’un des ouvriers, je ne vis pas qui d’autre ce pouvait être.
    
    J’essayai de me triturer le cerveau pour obtenir des réponses, je réalisai tout d’un coup que je caressai toujours ma chatte ouverte et palpitante.
    
    J’étais encore très excitée, un mouvement, se mettant sur mon côté droit, mon observateur passa ses grandes mains sous moi et me retourna sur le ventre.
    
    Avant même que je pusse tourner la tête pour demander ce qu’il était en train de faire, il me saisit les hanches et me souleva sur les genoux. Au moins, une de mes questions obtint une réponse.
    
    Maintenant, je sus pourquoi il était là. J’avais été dans cette position plusieurs fois auparavant et cela ne signifiait qu’une chose, une bite allait se glisser en moi !
    
    Je regardai en arrière et je vis la silhouette de son pénis, putain, c’était un monstre, noir, épais, dressé et très grand. J’en restai la bouche grande ouverte. Il me tira vers le bord du lit, celui-ci n’était pas très haut. Le gros phallus noir glissa aussitôt de haut en bas entre mes fesses.
    
    Mon corps réagit avec une nouvelle brûlure dans les reins et je ne pus pas m’empêcher de hausser mes hanches sur ...
    ... lui pour signaler mon envie.
    
    J’essayai de me raisonner, je ne pus pas croire que je n’avais pas essayé d’arrêter ça, je n’avais pas dit un mot pour exprimer mon refus. L’ombre noire, avait-elle compris ? Avant que je puisse répondre à cette pensée, je sentis sa grosse main sur le haut de mon dos et il poussa ma poitrine vers le bas, écrasa mes seins sur le matelas. Mes mamelons en érection durs comme du bois frottèrent sur le tissu de la literie ferme et ma poitrine glissa de tous côtés, envoyant des impulsions de plaisir perçant qui me parcoururent le corps.
    
    Les dernières velléités de santé mentale qui me restaient me crièrent de m’arrêter, de combattre ce que je subissais. Mais cela fut coupé et balayé lorsque son gland, puis sa queue glissèrent en moi, ma vanité fut vaincue et une vague accablante de plaisir me submergea. Je m’entendis crier.
    
    — Ouiiiiii... S’il vous plaît, enfoncez votre bite, s’il vous plaît baisez-moi. Dou... doucement s’il vous plaît, vous êtes si gros. Mais oui, baisez-moi, baisez-moi ; s’il vous plaît. Enfoncez votre grosse queue, j’ai tellement envie de la sentir, ouiiiii c’est bon !
    
    Mon bassin se releva, une pression sur mes fesses m’obligea à écarter les jambes, ma chatte fut enfin en train d’être comblée lentement par l’énorme piston noir. Mon vagin ne protesta pas et le frottement se transforma rapidement en un plaisir brûlant lorsque cette immense bite pénétra sans relâche dans ma chatte. Je criai et gémis de plus en plus, sentant ...
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